L'oiseau qui tombe du nid..

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 20/04/2010

Nous revenions de Tyrimar lorsqu'il m'attaqua.
Gin avait retardé avant de me rejoindre. Pour ma part, l'Héro m'a fait tombé de ma selle avant même que je vois la pointe du nez de mon Capitaine.
Évidemment, avant de nous brutaliser, il s'est assuré d'occire nos chevaux, afin que nous ne puissions nous enfuir.
Au moins, il était revenu vers moi pour m'aider parce que sans ma meute, je suis rien.
C'est à ce moment là que l'Homme Gris m'a donné le dernier coup de dague : celui qui à fait tourner mes yeux et tombé mon corps.

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Lorsque je repris conscience, Maas passait devant moi en riant, comme s'il avait vu quelque chose de très marrant, comme une Nebulixe presque morte.
Gin m'a donc traîné jusqu'à l'auberge adjacent la taverne, me déposant sur le lit de la grande pièce bleutée.

Une fois allongée sur le lit moelleux, j'ai finalement fermé les yeux un court moment, afin de savourer la douceur de la couette. Gin venait tout juste de fermer la porte que Noedel l'avait déjà interpellée, impossible de se cacher d'elle. Elle est comme la brise qui passe sous les portes, toujours là.

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Au bout d'un moment, il revint dans la chambre avec elle. Ils me regardèrent pendant un instant et puis je l'ai sentis.
J'étais fatiguée, même après avoir subit tout les soins possibles et que toutes mes blessures soient finements fermées, après tous les traitements de mon Capitaine.
La Mai m'observa de ses yeux rosés, comme on regarde un oisillon tomber du nid.
Plus ils me parlaient, plus je sentais leur voix se désaccorder, comme s'il discutaient dans la pièce voisine. Rapidement, mes yeux se mirent à picoter. Je les fermai à quelques reprises sans aucune satisfaction, malheureusement. Je regardais la décoration progressivement se voiler d'un ombrage noir.

- Regarde ses yeux ! Ses yeux ! Ils sont.. ils deviennent noirs !

Je clignai plusieurs fois sans que le linceul foncé ne disparraisse. C'est alors qu'instinctivement, je tendis la main vers ma droite, qui fut comblée par la menotte de Noedel. Je n'entendais rien, je ne voyais presque plus rien.. lentement, je..

- UNA UNA UNA ! siffla la Mai Vilas.

- OH MERDE ! Fais quelque chose soeur ! Gin, à mes côtés, s'affollait.

- Il n'y a rien à faire, Gin.. rien du tout. dit-elle en tennant toujours ma main.

Ma main s'évaporait lentement, le bout de mes doigts devenaient clairs et translucides, un peu comme quand on regarde à travers un vitrail. Je continuais à voir trouble et la fatigue me tirrait par le bout des pieds, littéralement.
Peu à peu, chaque parties de mon corps prit une teinte, dison, une apparence, diaphane. Les bruits se tuent aussitôt, laissant qu'un frimas sur les draps bleutés, signe de ma courte présence sur ceux-ci.

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Plus rien. Le vide, le néant.. rien. [...]

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Mes pieds fut saisient par de larges mains et s'est alors qu'il m'échappa, me laissant à mon abîme. Encore une fois, je.. j'étais retournée dans mon inexistance.
Pour être mieux empoignée parce qu'il serra tellement fort que j'en ouvris les yeux et vit, les siens.
De grands yeux d'un turquoise profond, emplient d'insaisissables pensées.
J'ouvris les miens difficilement, regardant.. Gin, la Mai et un Gorlak, presque terrifiés devant mon corps échoué sur le lit de la chambre bleu..

Nombre de messages : 304 Age : 36 Date d'inscription : 12/06/2009

La journée avaient mal commencé, la conscience acharné par ce qui venait d’arriver ce matin là n’était point entrain de s’arrêter. Les deux pieds sur le pavés de la sombre cité, la Mai’ attendait que quelque chose se fasse pour l’aider. C’est alors que son regard se figea sur la porte de l’auberge et senti une présence familière. Comme il était plaisant de savoir qui était derrière cette porte, pourtant ce n’était una toujours parfait, toujours pratique de savoir trop et de ne pas être au courant parfois. Allez, j’entre…

Elle était arrivé au bon moment, pour une fois dirait son frère, qui lui rappelait sans cesses les moments ou elle n’était una là comparément aux bons coups qu’elle effectuait. Il comprendra dans cents ans de toute manière. Un instant de réflexion, elle n’avait rien à y faire que cette nébulix soit sous son lit de mort. Pourtant poussé par autre chose que le devoir familiale, il fallait qu’elle soit là, qu’elle regarde qu’elle déchiffre. Sans trop comprendre, la main dans celle de la nébulix elle attendait de voir le processus. Le matin l’avait bien informé sur ce qui allait arriver. Les coups de dagues, le poison inconnu, la privation de sang…

Mais quand celle-ci disparu devant les yeux troublés de la nargolith. Il fallait être réaliste, elle n’avait pu rien faire, elle l’avait dit. Après tout, Zey était une expérience à ses yeux, pourquoi vouloir arrêter une expérience?

Hey, ho, réagit!

Elle empoigna les bras de son petit-frère qui était dans un de ses états. Elle le secoua, une fois, puis deux fois. Il hoqueta, colérique on le voyait à ses yeux. Elle s’empressa de savoir s’il était blessé, s’il courrait lui aussi un danger, voilà le réflexe qu’elle aurait du insister dès le départ. Il en était rien, mais il fallait continuer à comprendre. Le duo de Vilas partirent donc au pas de course au lieu d’attaque. Ils y trouvèrent une créature élancé arborant une robe cérémoniale blanche. Ses longs cheveux argentés formaient une belle natte.

Gin voulait criait à vouloir s’époumoner, un Gorlak passant par là s’arrêta et interpella la créature qui marchait vers la Sombre. Le suivant au pas de course, les questions passant par-dessus sa tête, qu’un flot de parole anarchique et mystérieuses étaient ses réponses. Pourquoi cette inlassable impression que nous nous faisons manipuler? J’en passe.

La revoilà couché sur le lit moelleux de la chambre bleu. Elle ne se rappelait de rien, je suis surpris? Una vraiment, sauf que j’aurais aimé en connaître d’avantage. Me voilà prise avec le problème, manen vraiment.

Nombre de messages : 60 Date d'inscription : 08/07/2009

(HRP: Jai ressortie de mon placard tres poussièreux mon talent d'écriture de textes RP, soyez indulgent Razz

PS: jai une mauvaise mani d'écrire....et d'écrire....et d'écrire!! Rolling Eyes

)

Gin et Zey parcouraient le chemin séparant le marais de Mortancia et l’entré de la Sombre. La nebulix avait prit un peu d’avance sur Gin, car celui-ci, sortant du marais, venait de se rendre compte que l’un de ses sac était plus léger depuis Tyrimar. Il fit donc une pause pour trouver ce qu’il clochait. Il trouva vite le coupable, il lui manquait des fils en or. Il maudit la personne qui avait osé lui dérober quelque chose, il avait même une très bonne idée de qui c’était. Il jura de se venger le jour même. Le temps de ce petit arrêt, au pont du marrais, il devait s’avoir écoulé….à peine 30 secondes. Gin ordonna à sa monture de partir au galop, question de rattraper Zey. Il arriva finalement à la tour de garde de Sombrum, juste après celle-ci, une autre tour longeait le chemin. Il aperçu Zey en train de se défendre contre quelqu’un, sa monture était morte juste à coté du combat.

Gin n’en croyais pas ses yeux. On attaquait son amea juste a coté de la tour de garde et aucun garde ne réagissait. Prit de panique, il empoigna son fouet à sa ceinture, tout en sautant en bas de sa monture. Il se dépêcha de se mettre derrière le combat et il y eu une pluie de coup de fouet en direction de la dague d’’un nargolith complètement vêtu d’une armure grise. Zey fut terrassé par le nargolith gris à peines quelques secondes après le début des attaques de Gin. L’assaillant fonça étrangement sur la monture de Gin avec l’intention de la tuer aussi. Gin, était complètement dépassé, il ne comprenait pas pourquoi son fouet n’arrivait pas à désarmer le forcené. Il laissa son fouet de coté pour sortir de son dos, entre sa chemise et son par-dessus, ses katars. Il fonça sur le nargolith gris, profitant du fait qu’il était occupé sur sa monture. Le fou furieux en gris était visiblement habile et semblait être fait en béton armé, les coups que Gin lui portait semblaient être aussi fatal qu’une piqure de maringouin. Pourtant Gin était passé maitre dans l’art de combattre aux poings, seul ses armes laissaient un peu à désirer.

Le nargolith gris alternait ses coups entre le cheval et Gin d’une manière spectaculaire, aucune faille dans son jeu. Il finit par terrasser la monture de Gin, même qu’elle ne fut pas vraiment un « challenge » pour lui. Étrangement, le nargolith gris se désintéressa de tout combat, il ignora complètement le fait que Gin continuait de le combattre. Il s’en allât en direction des marais de Mortancia. Gin, à bout de force et blessé non gravement, en déduit qu’il serait mieux de le laisser partir et de plutôt aller s’occuper de Zey. Elle était toujours étendue à terre, gravement blessée. Gin, tentant de rester calme, vint vérifier que le cœur de Zey battait toujours.

Gin : ZEY! ZEEEY!!

Il se dépêcha de sortir de son sac des bandages et il commença les premiers soins. Zey repris conscience à ce moment…Gin fut soulagé, il sourit à Zey, lui ordonnant de ne pas bouger le temps qu’il termine ces bandages. Une fois terminé les blessures les plus graves, Gin ordonna à Zey de rester là où elle était.

Zey : Mais où vas-tu..!?

Gin : Je vais prévenir les lames noires à la tour de garde…

Zey : Mais…!

Gin ignora Zey puis se dirigea vers la tour. Le fou furieux en gris était tout prêt, il semblait perdu dans ses pensées. Gin resta hors de vue de celui-ci et il se dirigea vers un garde.

Gin : Lame noire! Merde tu es aveugle!? On vient de se faire attaquer à 3 pas d’ici!

La lame noire dévisagea Gin…

Gin : Juste là! Un nargolith en gris…Il nous a sauvagement attaqué. Fais ton foutu boulot!

Gin pointa la direction où le nargolith était toujours.

Lame noire : Herm…je vais aller jeter un œil…

La lame noire se dirigea en direction du nargolith gris. Ce n’était pas très clair dans la tête de Gin, mais la lame noir engagea un combat avec le fou furieux. Gin vint pour aider la lame noire, mais Celle-ci lui ordonna de fuir, ce voyant visiblement trop faible pour vaincre son adversaire. Gin n’a pas attendu que la lame noire se répète. Il retourne vers Zey, pour la prendre et fuir avec elle en direction de Sombrum. C’est une fois à Zey que, pour une raison inconnu, Maas apparu sur le chemin, marchant. Il nous regarda et ne pu s’empêcher de rire de notre malheur.

Maas : Qu’est-ce que vous foutez là?

À ce moment on pu entendre le bruit de quelqu’un se faisant terrasser, la lame noire surement…Maas se dirigea vers le bruit. Gin, trop curieux fini par le rejoindre. Il vit Que Maas était sur le point d’Achever le nargolith en gris. Le corps de la lame noire, tout prêt d’eux. Quand Maas emporta le combat, Gin, satisfait de ce qu’il voyait, retourna vers Zey. Ils rentrèrent à Sombrum. Une fois à l’auberge, Gin termina ses premiers soins sur Zey. C’est alors que Noedel entra dans la chambre…..

*** (Après l’histoire de Noedel) ***

Zey était partie se reposer, elle semblait ne se rappeler de rien depuis son arrivée dans la chambre. Gin était complètement dépassé de ce qu’il lui était arrivé, à lui et surtout à Zey. Encore sur le choc, il s’en alla à son navire, question de faire le point, ou juste pour décompresser, il ne savait pas vraiment ce qu’il voulait. Il était étendu sur le dos, les mains derrière la tête en guise d’oreiller. Il se laissait bercer par les vagues de la mer qui heurtaient son navire. C’était la deuxième fois que Zey et lui se faisaient attaquer ensemble….Cette Zey, elle était plutôt nouvelle dans sa vie, mais la force des choses fit que Gin était maintenant attaché à elle. Elle et lui passaient presque tout leur temps ensemble, elle avait même montré à Gin à chasser. Gin prenait de plus en plus gout à ces activités, il avait même prit intérêt à essayer de comprendre les animaux que Zey utilisait pour chasser. Gin s’amusait beaucoup, mais il continuait quand même de payer sa croute grâce à ses talents cachés, il avait même amené Zey avec lui, une fois. C’était plutôt nouveau pour lui et ca lui fit prendre conscience de quelque chose.

Toute sa vie, Gin avait appris à se défendre seul. Lorsqu’il arrêta son métier d’artisan pour enfin commencer ce qu’il avait toujours voulu faire; un métier subtile et à caractère douteusement légal. À ce moment, Gin était plutôt seul dans sa vie. Sa sœur était déjà haut gradée et son frère était toujours en voyage en quête de savoir. De toute manière, c’était déjà clair dans sa tête qu’il allait se la jouer solo. Donc, pour lui, l’important était d’apprendre se défendre et non à combattre réellement. Et puis…si sa tournait au vinaigre….une bonne vieille bombe fumigène et Gin était déjà loin, caché dans l’ombre. Gin avait tout misé sur cette stratégie de survie, il pratiquait tout les jours et tôt le matin, dans l’optique de survivre. Son corps était parfaitement entrainé pour tout ce qui touchait son nouveau métier.

Mais voila que, tout à l’heure, Gin était dans l’impossibilité de faire ce qu’il avait passé tant d’année à maitriser. Il devait protéger quelqu’un d’autre….Cette pensée le dévastait, il était clair dans sa tête que ce n’est pas dans son état qu’il serait capable de protéger celle qui compte maintenant à ses yeux. Gin était face à 2 choix; il devait assurément remédier à se problème ou bien faire ce qu’il avait toujours fait : fuir. Il était clair qu’il n’allait pas fuir. Jamais il ne voudrait laisser ce qu’il tient maintenant, juste pour pouvoir continuer son métier douteux. Il réfléchie un peu, toujours balancé par les vagues de la mer….Gin en arriva à une décision qui, selon lui, était la meilleure pour lui et Zey, il était temps d’arrêter de penser juste à lui. La soirée passa, épuisé mentalement et physiquement, Gin resta couché sur son navire. Le lendemain matin, Gin se leva et se rendit à son site d’entrainement, comme à tous les matins. Mais…Cette fois-ci, il commença un tout nouveau entrainement…..