Lettre ouverte

La République est inefficace, stagnante et incapable de prendre de décisions. Le pouvoir est trop concentré entre certaines mains. L'aspect référendaire est trop lent pour être l'instrument de prise de décision. Tout de fois chaque Républicain à le droit de faire connaitre son avis. Chaque citoyen de la Sombre à le droit de se sentir représenté au sein de son gouvernement.
Tous dans la République ont présentement une raison d’être mécontent. Le peuple se sent tenue à l’écart, brimé et mal informé. Les dirigeants eux se sentent remis en question de façon perpétuelle.
Rajoutons que présentement même si quelqu’un accédait de Tal’Alass, celui-ci aurait trop de pouvoir. Il serait sans cesse remis en question dans ses décisions. Comment un seul homme peut-il trancher sur des questions diplomatique ou stratégique comme la défense Mortanyss ou un tunnel.
La nature Nargolith veut que les dirigeants confient leur secret à ceux en qui ils ont confiance. Pour que le peuple puisse être informé correctement, le système doit offrir la possibilité à tous de se sentir assez proche du gouvernement.
Je note aussi que certains postes prestigieux sont souvent plus prisés que d’autre. Par moment, certains secteurs n’arrivent à trouver des personnes compétentes pour les dirigés.
Le seul moyen d’obtenir un système durable est de mettre en place un conseil dont le nombre sera variable. Le conseil partagera tout les pouvoirs et pourra prendre des décisions indépendantes.
Un tel conseil serait peut-être plus lent à prendre des décisions, mais il serait plus représentatif. De plus, il serait plus rapide que l’organisation de consultation et de débat pour chaque décision importante. Il s’agit d’un juste milieu.
Le conseil permettrait aussi d’alléger le fardeau d’une décision. Les décisions seraient le fardeau de chaque personne ayant voté et les critiques seraient donc partagées.
L'aspect ordonné que nous offre le système se fait au sacrifice de la part de chaos qui anime la démocratie et la nature Nargolith.

Trimasel de la ligné Elnar, anciennement connut comme le Sénateur Xavius.

Entièrement d'accord avec ceci. Par contre, il faudrait que le conseil soit un chiffre impair de personnes. Et comment pourrait on choisir les personnes qui feront le conseil? Par un vote de toute la populace? Par le Château lui même? Par actions méritées?

Vous avez en main toute les réponses à votre question. Je dirais que toute ses suggestions sont bonnes. Que siège ceux qui le mérite, ceux qui ont la confiance du château ou qui ont suffisamment d'influence et que le peuple y élise un représentant.

J'aimerais proposer un vote. Mon idée est que, chaque Nargolith qui est présentement dans une des deux Mains, soit la gauche et la droite, donne un nom, autre le sien, pour que cette personne accède au conseil. Je proposerais un nombre tel que trois. Certains se rappeleront les Sénateurs. Autrefois au nombre de trois, la communication se faisait assez bien et dans un délais très respectable.

Si je ne me trompe una, le décompte de ces Nargoliths membre des Mains :

-Mai'Ame Syliel
-Dai'Maeth Dirvyd
-Trimasel Elnar
-Vytautas Mihehl
-Azyllian'Aeva
-Marano Enliash
-Mieszko
-Illish'Shaan Saddlerian
-Lodlo Eneichem

J'espère n'oublié personne...
Je proposerais que chacun vote ouvertement ici bas ou à moins que le Château capitule le tout. La deuxième option m'est favorable je dois avouer. Si il y a égalité, je proposerais que le vote soit refait à zéro mais que cette fois ci chaque personne voterait pour deux Nargolith. Ensuite trois et ainsi de suite. Je vais m'arrêter là et attendre vos commentaires et impressions. Manen de votre implication au sein de la République.

Marano Enliash
Le Veilleur

Au square de Sombrum, le Tes'Ani criait un discours :

Peuple de Sombrum, Républicains ! Vous qui aspirez à une République lumineuse, vous qui aspirez à écraser les peuples par votre culture et votre puissance, Ima vous, Nargoliths qui doutez de Narshoul ! N'écoutez pas les quelques abjectes suppôts d'Esdraban et d'Abbadon.

Ceux là qui ne peuvent se satisfaire des hochets et des miettes qu'on leur donne, ceux là qui n'ont jamais rien fait pour élever la République à une grandiose apothéose .

Soyez sur, peuple de Sombrum, que votre égoïsme pourra être comblé par le gouvernement actuel, repoussez de votre esprit la grandiloquence de ces quelques cafards adeptes du changement inutile. Laissez moi vous apporter la voie du changement nocturne, afin que la lune puisse à nouveau éclairer vos âmes douteuses. Ensemble, Républicains, nous écraserons les rébellions, nous laisserons pourrir la vermine dans nos latrines, et leurs paroles de vipères seront brulés . Oserez vous, peuple de Sombrum, suivre le chemin du Circan ? oserez vous trahir les idéaux de votre famille, de vos ancêtres pour satisfaire quelques sénateurs et gardes retraités ?
Suivez plutôt le chemin de l'activité, suivez les fiers guerriers de la Main Gauche, et les grands magistrats de la Main Droite. Apprenez avec fierté à être victorieux et à croire au pouvoir qui fut donné à vos chefs par la très noble et légitime Sergorath.

Peuple de Sombrum ! Je ne laisserai pas quelques hordes malsaines piétiner nos ténébreux espoirs, je ne laisserai pas ces gens vous voler l'orgueil et la fierté d'être citoyens !

Arcken eut l'immense chance de se trouver en Sombrum au moment où ce discours fut entamé. Il se rapprocha donc de l'endroit où se tenait le Nargolith le débitant afin d'en saisir le plus possible. Ce qu'il entendit l'étonna presque, mais il raisonna qu'un membre aussi important de la société nargolith ne pouvait que tenir de tels propos, n'est-ce pas? Arcken leva un sourcil, puis prit le chemin de la cathédrale, son bâton précédant ses pas. Il ne prirait certainement pas une entité du Circan.

Que devons-nous croire d'un gouvernement qui refuse d'informer le peuple parce qu'on met en place nos propres projets. Voilà l'unique base de ce conflit. Le gouvernement souhaite tout contrôler y compris nos opinions. Se qui en est vraiment c'est que Sombrum est dirigé par des fervents de Dissipastar.

On m'accuse ici d'avoir eut une prise de tête avec la Mai'Syliel sur quel question? La question d'un portail qu'elle refuse d'exposer au peuple?

Le Royaume, puisqu'il serait souillé le mot République de continuer de la nommé ainsi, n'a eut de cesse d'utiliser ses agents pour tout faire pour me discréditer.
N'est-ce pas vous Monsieur Aeva qui m'a incité à le mettre en contact de façon officiel avec Hazael, alors que son but à toujours été de la mettre au arrêt?
En sommes-nous vraiment rendu là?
Manipuler nos citoyens pour parvenir à nos fins.

Cette nouvelle Monarchie a mis à l'écart ses anciennes élites actives. Ils ont poussé à l'exile un ancien Sénateur et confiné l'autre dans les basses castes.
C'est ici une offre de réconciliation. Une offre afin que tous ceux qui le mérite puisse donner son opinion. Que se privilège ne soit pas exclusif à un cercle d'Amea restreint.

(...)

De sa retraite où lui furent rapportées les paroles de Xavius, Ame fut prise de colère puis une immense lassitude la saisit. Elle s'assit à une table et commença à rédiger une missive qu'elle fit parvenir au Dai, mais adressée à Xavius afin qu elle soit affichée en place publique :

Citation :

Monsieur Elnar,

Encore une fois vous confondez tout et ne comprenez rien. Vous prenez l'effet pour la cause. Ai je jamais dit que je ne dévoilerai una mes projets sous pretexte que vous soumettez le votre? Una. Jai dit que je ne dévoilerai ce projet qu'en temps et heure. Vous qui faites tout dans la précipitation et qui pensez que tout doit etre remâché cent fois par cent bouches parce que vous n'estimez una que vous pouvez prendrene décision seul, Vous, êtes incompetent et pardonnez moi mais vraiment stupide. Est ce là vraiment la raison qui vous fait partir en croisade. Cilias comme vous avez de VRAIES préoccupations dans la vie.... Lorsqu'on vous dit una Monsieur Elnar vous tapez du pied comme un enfant capricieux.
Vous êtes pitoyable

J'hésitais à prendre cette décision, pensant comme je l'ai dit à tous qu'un jour vous comprendriez et sauriez être utile à notre republique

Mais vous avez dépassé les bornes

considérez vous limogé. Et ne laissez una courir le bruit que ce n'est que pure vengeance tyrannique. C'est votre peu de réflexion, votre incompétence et votre incohérence, votre inaptitude à prendre des décisions en voyant un aspect global de la situation... bref c'est le fait que vous ne voyez una plus loin que ce qui vous sert de nez. Pour exemple, j'ai passé deux heures à vous expliquer quelque chose que vous n'avez compris qu'à la fin. J'ai autre chose à faire qu'à vous materner et subir vos crises de nerfs ou vos caprices d'enfant désirant attirer l'attention sur soi.

Longtemps j'ai cru, au nom de notre ameatié, que vous aviez votre place. Maintenant, à vos agissements et discours, je vois bien que je me trompais. Lourdement.

A defaut de mon respect, recevez mes cordiales illyahtions.

Mai'Syliel Ame, Tes'Aunil de Sombrum

Après que le corbeau eut pris son envol, Ame s'effondra d'épuisement

Alors quel solution me proposé vous dame Syliel?
L'exile?
N'est-ce pas votre solution?
Sombrum n'est-elle pas assez grande pour que tous ses citoyens y vivent?
Suis-je réellement l'enfant gâté que vous dépeignez ici?
Nous savons tous votre histoire dame Syliel. Comment vous avez monté, non seulement les Mortanyss, mais aussi les Gorlaks contre nous.
La confiance rompu avec le peuple Gorlak est dût à cela. Notre désunion.
Si vous souhaitez mon départ, je ferai comme vous. Si vous me refusez le droit d'œuvrer pour Sommbrum alors je me plierai à vos exigences. Tout de fois, je ne cesserai pas d'œuvrer pour autant.
Vous avez critiqué le fait que personne n'œuvrais, mais quand j'ai souhaité présenter mon propre projet, vous m'avez rabroué immédiatement et écarté du pouvoir.

Si vous désirez dévoiler au grand jour les raisons de mon una-nomination, je vous en pris faites le.
J'ai bel et bien informé Hazael, qu'elle était hautement recherché par la République et que tous ses espoirs d'y revenir était vain. Je n'ai pas una plus chercher à la détromper sur la véritable position de la République concernant notre position. Je l'ai fait volontairement en pleine connaissance de cause.

Cette lettre était au départ un appel à la réconciliation. Je ne souhaite ni quitter Sombrum, ni lutter contre son gouvernement. Je souhaite une table où tous pourront parler. Le château n'y donne pas son aval. Les mots de Nysth étant toute que personne ayant un poste peut être discrédité. On m'accuse de vénérer Abandon et Esteban, mais la République n'est que Chaos et Haine, Abandon et Nysankthor.
Alors je vous le demande à nouveau, quel solution me reste-il? Qu'est que la République a encore à offrir? Dois-je me prêter aux jeux?

Une autre missive parvint dans les mêmes conditions

Citation :

Cher, cher Monsieur


Mon cerveau ne fonctionne una au maximum de ses capacités, mais suffisamment je pense pour que vous le compreniez encore. Je jette ici quelques réponses en vrac ainsi que des questions, rhétoriques pour la plupart, sans organiser ma pensée. Mais vous trouverez de quoi répondre

Pour commencer, je n'ai jamais monté qui que ce soit contre ce nous que je n'identifie d'ailleurs una. Il fut un temps una si lointain où les Nargoliths ont bien su faire cela tout seuls comme des grands. Et j'essaie de raccommoder le tout.

Encore une fois comme je m'y attendais vous vous victimisez. Qui a dit que je demandais votre départ parce que vous vous étiez opposé? Certainement una moi. Il vous est peut être plus facile de crier à l'injustice et au dictat, que de remettre en cause votre travail. Devrais je vous laisser en place simplement pour que vous ne vous sentiez plus victime? Pour ne una être targuée de tyran? Je ne jouerai una ce jeu hypocrite.

Lorsque vous vous êtes opposé à moi, j'ai pris le temps de vous écouter, j'ai pris le temps de vous expliquer que certains paramètres étaient à prendre en considération, j'ai pris également sur moi et ai fait des concessions afin de nous arranger au mieux tous deux - ce qu'entre nous soit dit, je n'étais una tenue de faire- et tout cela pour quoi? Pour que vous décidiez alors que je commencais de mon coté à mettre en oeuvre ce dont nous étions convenus, sans trahison aucune, que finalement ce que nous avions trouvé comme compromis ne vous convenait una?

Depuis quand change t on les termes d'un accord ainsi, a fortiori quand on n'en a una le pouvoir? Est ce ainsi votre conception du travail d'équipe? que quelqu'un vous consacre du temps qui lui est précieux en des temps troubles pour que vous le jetiez aux orties et le poignardiez dans le dos? Cela vous semble légitime quand vous agissez ainsi mais una lorsque c'est moi? Pourquoi? Parce que vous êtes l'opprimé et moi l'oppresseur? Laissez moi me gausser deux secondes avant de reprendre.
Suite à cela vous ai je écrasé? Una. Vous avez poursuivi et j'ai poursuivi. Seulement il est un moment où il faut assumer ses actes. De quelle réconciliation est il question Monsieur Elnar? Je ne suis una en guerre contre vous. J'ai vraiment mais alors vraiment, croyez moi, tellement plus important à faire. Vous répondre déjà me prend trop de temps.

D'ailleurs je vous rappelle qu'on m'a mandatée pour remplir une fonction. Et il s'avère que pour l'instant cela semble convenir au château. Remplir une fonction c'est prendre des décisions. C'est aussi prendre à sa charge des responsabilités. Si je prends des décisions et en assume les responsabilités et l'entière charge, j'entends m'assurer deux choses. La première est d'être la dernière à trancher concernant les décisions et projets à soumettre au château. La seconde, m'entourer de gens en qui j'ai une relative confiance. Ce que vous avez perdu Xavius et vous conserviez ce poste en souvenir de l'estime que j'avais pour vous. Cela a assez duré. Je n'assumerai una vos actes et propos. Quand on assume une fonction, et qu'on prend tous les risques, on s'engage entier. Et quand on fait cela, on n'a aucune envie de mettre en péril un projet pour ménager des susceptibilités.

Quant à la suite, Monsieur, exil ou una, ce n'est una à moi de décider pour vous, vous êtes un grand garçon. Vous trouverez certainement la solution à ce que vous considérez comme un problème. Si vous souhaitiez que je me prononce quant à cela, je vous prie de m'excuser mais je n'ai una d'avis à ce sujet. Faites comme vous le désirez. Ca sera déjà bien assez.

concernant mon histoire Monsieur vous avez sûrement tellement à m'en apprendre que j'ai hâte de vous entendre à ce sujet. Tout le monde sait tellement tout de moi. Mieux et avant moi même. Le nom de mes amants, de qui je suis le jouet, à qui j'obéis, comment je me comporte, ce que je ressens, quels sont mes goûts vestimentaires et culinaires, et même j'en suis sûre quelle sera la couleur de mes sous vetement le lendemain. Ces rumeurs si chères à vos coeurs, nourrissez les je n'en ai cure. Vous pensez savoir et vous gargarisez. Continuez. peu me chaut.


Pour ce qui est de votre una nomination, j'en ignore tout et je ne vois una pourquoi vous me demander de la dévoiler. Elle ne regarde que le château. Je m'en moque. Concernant Dame Esthéliath, elle avait mon soutien au début de sa transformation, il etait même question qu'elle trouve refuge à Sombrum. Elle ne s'y est jamais présentée et a préféré Citria.

Ce que vous dites par la suite est très grave en revanche. Vous avez dévoilé à une personne étrangère, quelque chose qui relevait du secret défense... Et vous vous étonnez après qu'on ne vous confie aucune tâche de subtilité. Mais Cilias, vous n'avez donc rien compris à ce que nous faisons?

Enfin concernant cette table où tous pourront parler... A trop se perdre, on n'avance una, ou tous dans des directions différentes. Il faut quelqu'un pour statuer. La machine est déjà lente, vous êtes le premier à vous en plaindre, imaginez s'il fallait en plus des préliminaires. Mais continuez ainsi, c'est le meilleur moyen de brasser du vent en se donnant bonne conscience et en pensant qu'on agit.

Pour l'instant, une seule raison me retient encore. Si la République me demandait de partir, je partirais. Franchement, j'en ai assez de tout ceci. Je n'ai una besoin d'être Mai pour agir même si cela me facilite sûrement les choses et que j'en suis honorée. Je n'ai una besoin d'être Tes'Aunil pour exister. Vous, tellement, que c'en est pitoyable.

Je suis à bout de force pour l'heure et quitte la plume.
Cordiales illyations.

Ame Syliel

P. S. : et si ce sont des menaces dans vos premières lignes, ima, ima faites donc.Cela me donne tellement raison. Vous êtes vous demandé pourquoi vous agissiez, un jour? J'ai fait et accompli tout ce que j'ai fait par conviction et principe. Vous? Par vengeance. Merveilleux monde, que celui dans lequel nous vivons una?

Que ceux ayant des revendications les expriment autrement que par la violence, que ceux ci soumettent leurs projets au peuple et au château. Si leurs projets ne reçoivent aucun aval, qu'ils cessent de manquer de respect aux agents de la République, se taisent et se rangent.

Je vous ai laissé exprimer votre avis, monsieur Elnar, mais il semble que vous n'ayez visiblement pas la force et le pouvoir de me renverser, à l'heure actuelle. Vous êtes en échec pour l'instant, mais la partie n'est pas terminée, et tant que vous demeurez dans la légalité, vous ne serez pas pendu devant la caserne, vous pouvez continuer néanmoins vos discours, car la libre expression est permise, mais si nous n'étions pas si magnanimes, vous seriez noté de nombreuses fois dans nos dossiers pour faits de Haute trahison.

- Des clés devaient être retirés de certains trousseaux.

C'est ainsi que Marano partit sur un pas décidé.

N'ayant reçu aucune information quant à la libération de Trimasel, Maeth constata avec un certain dégout que celui-ci ne demeurait plus dans sa cellule.

Il donna donc l'ordre suivant, sur l'affichage public :

"Nous vous rappelons que ledit Trimasel Elnar est accusé de haute trahison pour relation avec une criminelle importante en la personne d'Elenwe Estheliath.

Trimasel Elnar est également un récidiviste, car il a affirmé vouloir réaliser un coup d'état, selon les témoignages de notre personnel.

Ce dernier s'étant évadé de prison, il est déclaré en délit de fuite, ayant visiblement peur du jugement d'un tribunal pour son cas.

Je demande donc à toutes les autorités de la Main Gauche d'amener ledit Trimasel Elnar en prison à nouveau, afin qu'il puisse répondre de ses crimes.

Toute personne empêchant l'arrestation dudit criminel ou cachant sa personne, sera reconnu comme complice et subira des sanctions en conséquences.

J'invite ledit Trimasel Elnar à venir se présenter à la caserne, pour ne pas aggraver son cas."

Les rumeurs circulaient, Trimasel devait avoir eut un complice pour sortir, mais qui? Maeth savait qu'il ne pouvait pas le garder sous arrêt pour dissension, il devait trouver une nouvelle accusation.
Un procès? un évènement publique où il pourrait se défendre? Pour l'heure actuel, il était hors de question de venir mettre plus d'huile sur le feu.
Il répondit d'une lettre

Citation :

Dai, nous sommes tout deux des hommes dotés de raisons. La seul chose dont tu puisses m'accuser se sont des mots et des propos. Tu ne peux me faire arrêter pour des mots.
L'expérience du passé aurait du vous apprendre que se type de décision est un pas de l'autre coté de la ligne. Plus vous acculez le chat, plus il risque de griffer.
Nous sommes tout deux dotés de raison, venez me rencontrez à Hildrim. Nous pourrons régler nos différents entre homme.

X

Monsieur Elnar, je n'ai à titre personnel, aucun différent avec vous.

Tout se passe entre vous et le régime des mains, et d'une manière plus large entre vous et la République.

Votre décision d'aller vous réfugier en Hildrim vous écarte de votre jugement, nous déciderons avec la Mai' et sans votre présence, des sanctions à prendre contre vous puisque vous avez choisi la fuite.