*Déposé dans la bibliothèque subtilement, les lignes n'étaient pas signée*Les méandres de l’esprit : Première partie.
A peine s’était-il réveillé
Que par de doux rêves il n’était plus bercé
Il se mit sans tarder en mouvement
Il devait réfléchir prestement
Bien qu’il était en constant changement
Il devait ralentir, pour un temps
Sachant que rien ne serait permanent
Il décida de se trouver un lieu, pourtant
Cet endroit qu’il avait choisi
Se trouvait au fond de lui
Dans les ténèbres qui l’engouffrait
C’est là qu’il réfléchirait
A cet endroit il fut pris de passion
Se laissant posséder par l’émotion
Il y prit également son petit déjeuner
Qui de rêve et d’utopie était composé
Le futur semblait si loin
Mais pourtant a porté de main
Il était grandiose et merveilleux
Mais d’ici là l’esprit serait bien vieux
Ses pensées se transposèrent
Il y avait tant à faire
Il ne savait par où commencer
Cela lui pris à choisir une éternité
Il quitta ce lieu de désillusion
Où ce qu’on y voyait n’était que fiction
Retrouvant la douce brise de l’extérieur
En silence il marcha, au rythme de son cœur
A d’autres endroits il décida de s’arrêter
Réfléchissant sur la forme qu’il pourrait leurs donner
Il chercha sans trouver la clef
Et décida donc d’aller se reposer
Dans le calme il se laissa choir
Confortablement étendu dans le noir
A droite et à gauche il virevolta
Un souvenir dans ses bras il serra
S’ensuivi un moment de doute
La peur semblait le mettre en déroute
Mais une petite voix intérieure le rassura
Tout ira bien, elle lui susurra
Il se repris et accepta
Se laissant bercer par la voix
Un moment de calme s’en suivi
Plus rien n’existait sauf lui
Puis tout à coup il se raidit
Que de tour se faisait jouer l’esprit
Sans trop savoir où s’était arrêter ses pensées
Tout ce qu’il savait c’est que cela l’avait troublé
Il reparti donc du même pas
Qui l’avait mené jusque là
Après un moment il se dissocia
Et se dit simplement : Adviendra ce que pourra