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 [BG] La Famille Van'Rozen

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Atalantëa

Atalantëa


Nombre de messages : 23
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Date d'inscription : 09/02/2008

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MessageSujet: [BG] La Famille Van'Rozen   [BG] La Famille Van'Rozen Icon_minitimeJeu 26 Mar - 0:08

Quand Sombrum vit le jour, il y avait plusieurs familles qui y vivaient déjà. Il y avait une petite famille, pourtant bien vorace qui continuait de lutter contre la calami ou la pauvreté, et cette famille on dit qu’elle avait réussit à trouver l’un des plus gros trésors jamais cachée dans les histoires anciennes des Nargoliths. Ce trésors semblait ne jamais s’éteindre, et permettait à la famille Van’Rozen, petite mais rusée famille de survivre, afin de continuer à grandir au fil des siècles. À l’époque, ils étaient quatre frères et quatre sœurs, gouvernées par un puissant guerrier qu’on disait qu’il était un des meilleurs à la force brute, à l’époque. Évidement c’était surtout interraciale que ses compétences avaient été comparées. Il gouvernait seul après la mort de sa femme au dernier accouchement. Elle avait eut un trio de fille, mais seulement une avait survécue.

C’est elle qui bien plus tard prit la place de son père quand elle épousa son cousin de la famille Vlak’lhau. Cette famille était reconnu pour êtres des tueurs à sang froid hors du commun, et croyez-le son homme n’était pas le plus gentil. Comme il était encore plutôt jeune, il performait son art du meurtre au point d’être capable d’usée d’une vitesse impressionnante lors des exécutions. Ces cibles favorites étaient celle qu’il prenait de front. En effet il était tellement agile pour esquiver les coups que même avec une dague il finissait par vaincre son ennemi de face. Le plus impressionnant c’est l’absence totale de sentiments dans son visage. Contrairement à sa femme qui elle-même son visage semblait dicté des expressions, malgré elle. Enfin c’est ce qui fit charmer le cousin et puis de toute manière, ils n’avaient pas le choix c’était les dernières volontés de l’ancêtre qui avait rendue l’âme il y a peu. Le manoir n’avait pas d’ennemi à l’époque, car il était en train de se spécialiser. Leurs domaines étaient le meurtre et la richesse. La condition que le cousin s’était faite imposée, c’était que en échange de la main de sa fille, il devrait devenir un Van’Rozen et aider sa femme à gérer le manoir. Ce qu’il fit avec fierté. De toute manière, il contrôlait tout, alors son nom ne lui importait peu, et en plus il était auprès de sa bien-aimée.

Vël’shä et son mari Venh’ëlfar avaient eut ensemble bien des enfants. Tout d’abord il y a eut la première fille, Mòrëlenya qui elle semblait avoir héritée du regard jaune perçant de l’ancienne appartenance à des jumelles de sa mère, et pour le reste, on aurait presque pu dire qu’elle ressemblait aux sœurs qui moururent dans le trio. Comme si elle avait héritée des gènes de sa mère qui a héritée de sa grand-mère. Puis vint le fils le plus âgé, qui lui avait hérité de la mentalité de son père, il était une véritable fierté des Vlak’lhau. Toujours sur de lui, calculant bien ses manœuvres, il était un atout pour la famille Van’Rozen. Puis en deuxième vint au monde un autre garçon, Faënör, qui lui en revanche semblait avoir hérité plus du physique charmant et svelte de sa mère, cependant il avait la même façon de penser que son père, sauf en plus élaborée celons lui. Il se disait toujours que ses ambitions devaient être réussite pour avancer. Il ne recevait pas assez de confiance et de mérite par rapport à sa famille, car c’était toujours son grand frère le meilleur… Moebius lui au moins il s’entraîne, Moebius lui au moins fait du progrès… Simplement que ses parents ne le regardaient pas avec le bon œil. Ils ne le considéraient pas assez. .

Puis, vint au monde la deuxième sœur du lot, Lïenëmä, qui elle était plutôt celle qui pensait à tout, qui apprenait, vivant chaque choses en son temps, prenant le temps d’apprendre sur tout ce qu’elle fait. Elle devint rapidement bien sage. Contrairement à Mòrëlenya qui elle était plus hautaine et matérialiste. Puis, vint la plus jeune de la famille. Les parents n’attendaient pas grand-chose de celle-ci, mais quand ils virent le regard sombre que la gamine avait, ils comprirent toute de suite qu’elle était destinée à devenir comme son père. C’était la première qui avait hérité parfaitement de ce regard sans émotion. Elle fut nommée Prissël’ëxä. Venh’ëlfar décida donc de lui faire subir environs la même éducation que lui avait vécu dans sa famille. Pour les autres c’était plus simple et moins détaillé, mais elle n’avait jamais droit à du temps pour s’interroger sur elle-même. On lui imposait une personnalité. Elle devint rapidement très habile pour son âge avec des lames, et semblait à l’aise avec tout ce qui touchait à un couteau. Passant de l’extérieur à la cuisine, elle n’avait aucuns répits. Chacun vivaient son éducation à travers les missions qu’ils avaient de temps à autre, parfois des exécutions parfois de l’espionnage… Tout ce dont ils étaient capables de faire. Un jour, on envoya les deux frères pour une mission importante de diplomatie. Cependant, le plus jeune des deux revint seul et dit que son frère avait été tué par des ennemis,

La situation avait parût étrange, mais rapidement les parents avaient effacés de leur pensée leur fils aînée. Ils commencèrent ainsi à croire un peu plus à leur deuxième fils qu’a l’autre. Cette nouvelle avait par contre émie aux parents qu’une famille peut vite changer. Déjà qu’ils ne le voulaient ou non, ils avaient cette blessure au cœur, le fils en qui ils avaient crut tout ce temps… Au fond d’eux ils voulurent croire que Moebius allait revenir. Cependant, peu après, environs 2 semaines plus tard, on parlait dans la famille que les deux parents avaient été assassinées. Bizarrement, la plus jeune des filles semblaient avoir disparut. Faënör, Mòrëlenya et son mari, ainsi que Lïenëmä cherchaient maintenant un moyen de découvrir qui aurait fait ça, et surtout, à quelles fins ? Lïenëmä était supérieure intellectuellement, mais c’était elle qui avait quand même donné les bases de combat à Prissël’ëxä. Elle lui avait servit de maîtresse et s’inquiétait Énormément où était rendu son apprentie. Au début elle pensa à un enlèvement, par les assassins, puis rapidement elle fit le lien entre l’art de Prissël’ëxä et le résultat de la mort de ses parents. Elle était sur que c’était elle qui les avaient tués. Elle ignorait qu’elle idée avait la gamine en tête, mais chose certaine elle se devait de continuer à la surveiller car elle avait encore beaucoup à apprendre et comprendre en ce monde.

Cependant, on ne réentendit plus jamais de nouvelle de Lïenëmä. C’était maintenant clair dans la tête de Faënör qui commençait à regretter le meurtre de son frère, en cause de ce qui se passait et la solitude qu’il ressentait. Sa plus grande sœur trop matérialiste devra au moins être au courant. Après son enquête il avait découvert ce que le nom de Prissël’ëxä cachait. Il comptait bien résoudre la famille, ce malgré le petit nombre. Le nom de Van’Rozen ne pouvait pas tomber. Maintenant, il restait envie que ceux-ci :

-Prissël’ëxä, qui se baladaient quelque part entre Citria et Sombrum.

-Mòrëlenya, qui elle vit à Sombrum et est Archiviste du Culte de Narshoul.

-Faënör, qui au dernières nouvelle était encore en train d’enquêter sur ce meurtre.

-Moebius, qui lui a survécu à la tentative de meurtre des décennies plus tôt…
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