"Pages premières, journal personnel d'Ox, être de martyr"
Ox Nadak, mon existance est un fardeau à porter sur mes frêles épaules en ce monde tourmenté, tourmenté voilà le mot que je cherchais pour qualifier mon état d’esprit. État d’esprit est un bien grand mot quand aujourd’hui encore, je me demande à savoir si j’ai toujours une âme ou trop avare d’or, je l’aurais vendu à un sorcier fou rencontrer un de ces jours qui m’est méconnu. Mon existence, je la persécute continuellement sans trop savoir si elle n’en vaut la peine mais peu importe, je suis une plaie en ce monde, ils n’ont qu’à me supporter ces vermines, encore là je crois que cette bestiole dites vermine à encore d’avantages de valeurs que ces êtres des autres peuples que je caractériserai plutôt d’indescriptible. Vous me trouvez plaignard? Je te l’accordes je le suis et tu ne connais rien de ma vie qui est à plaindre, effectivement. Je ne pourrai jamais parvenir à te faire comprendre le sens de celle-ci, ce même sens que moi-même je ne connais pas. Mais autant minable qu’elle soit, je peux toujours t’en glisser quelques bribes.
Kalvix de la noble famille Altar était mon père, anciennement chef de la garde de la maison de cette même famille. Mais je reprends mes propres paroles puisque dire que c’est mon père s’est renié ma propre opinion, je ne peux consolidé cette idée qu’il soit mon paternel et ce depuis un jour préçis.
La naissance était encore chose fraîche à mon existance, je n’avais que quelques années. J’étais un gamin un abrupti, un poids de plus à porter pour cette chose qui me servait de père. Souvent je m’enfuyais de la maison puisque j’y étais laissé à moi-même. Une mère inexistante ou que je n’ai jamais eu temps de faire connaissance, ou bien ce chef de la garde de la maison dit mon père n’avait pas le temps de m’y présenter. Avec ces fonctions j’ai grandit, veillit mais surtout murit seul comme un sauvage. Je me suis nourri de par mes propres moyens, mais surtout survécu avec miséricorde à toujours fuir les uns et les autres. Il ne s’en rendait même pas compte, que ces fonctions en tête, je me demandes même s’il avait le temps même seulement de songer, qu’il avait un fils. Surement puisqu’un jour lorsqu’il devait menée la garde en croisade vers une île dont la famille en soif de pouvoir continuel désirait acquérir.
Voilà une semaine que l’on charge le navire pour cette dites aventure. La visite de celui-ci étant restreinte personne autre que la garde pouvant y mettre pied. Le cor résonna dans les cavernes l’embarquement avait lieu et chacun prenait place à bord, ne trainant comme effet, que leur moral d’acier près à combattre et leur équipement d’hostilité. Seul mon père fit rouler un barril sur la rampe d’embarquement jusqu’à bord. Ces soldats n’osant posé aucune question suivi les ordres bien que croisant entre eux leur regard interrogateur face à ce barril qui était source de mystère. Mon père en voyant leur visage empreint de questions ne laissa échapper comme mensonge que ce n’était seulement des vivres personnel. Haussant les épaules, les soldats roula le barril jusqu’à la calle ou il l’abandonnèrent. Moi dans toute cette histoire, je n’eut qu’a défecter mes hauts le cœur par le viraillement du barril dans lequel je me trouvais, sur moi-même, m’y trouvant coincé à l’intérieur. Ce n’était pas des vivres comme croyaient ces abruptis, mais mon père m’y avait installer à l’intérieur avec quelques trous d’airs et victuailes. Il me promit de revenir me prendre aussitôt qu’il aurait un moment de libre. Le mal de mer était constant et l’air dans le barril était putride de par le vomit coulissant sur mes vêtements, je n’y pouvait rien, hormis y pourrir comme une vieille miche de pain. L’épuisement c’était emparé de moi bien que inconfortable je du m’endormir contre mon gré.
Pris d’un sursaut, des cris de strident persistant sur le pont, par le ballotement du navire, je me savait encore en mer, des coups d’épées s’heurtant l’une contre l’autre et le cliquetis des armures résonnant à bord. Quelque chose n’allait pas, il en allait de déductions. Je ne pouvais rien faire mise à part m’imaginer des scénarios interminables. Un énorme vacarme s’en suivit d’un cri plaintif de douleur avant que plus aucun bruit ne soit perceptible, a l’exception de quelques pas sur le pont. Curieux de nature, je porta mon œil par un trou du barril me servant à respirer pour apercevoir au bas des escaliers, un garde le coup cassé et empaler d’une lame au torse, jonchant dans sa propre marre de sang, ce même sang qui me paraissait famillier. Il n’en était nul autre que mon père, mort devant mes yeux au sol sans que je ne puisse l’atteindre ou dire le moindre mot au risque de me faire reperer. Je me contentait de croupir dans mon barril, je ne pouvais dire que j’avais un certain sentiment qui m’était inconnu jusqu’à ce jour, c’était plutôt la haine qui me traversait, du fait que l’on m’avait abandonné, la tête enflée par ces fonctions au détriment de son fils qui avait fait son éducation lui-même fesant de lui son caractère un peu, enfant sauvage. Je croupissait, en attendant que l’on me découvre, ce qui ne tarderait pas.
Un coup de hache qui frole mon crane encore jeune adolescent, le bruit du bois qui éclate, on venait de défoncé mon barril pour tenter d’y découvrir un butin. Un Nargolith à ma surprise, qui me met la main au collet pour m’y sortir et me tenir a bout de bras au dessus du sol, m’observant . « Voilà quelque chose d’intéressant, nous le ramenerons parmi les autres esclaves d’ici à ce qu’il prouve sa valeur ! » Encore innocent, je n’eu autre réaction que par frustration de lui cracher au visage avant qu’il ne me projette contre le mur ou je suis tomber inconscient en me percutant la tête contre le mur. Bien que j’aille misère à comprendre à cette âge, je savais bel et bien que tout ceci avait été une arnaque de la part d’une autre famille du temps ou ils se livraient la guerre de pouvoir. Ils avaient jetés les cadavres à la mer fesant accroire aux connaissances de la famille qu’ils avaient été trépassés par les occupants de l’ile qu’ils comptaient prendre possession. En fait, c’était désormais cette famille qui avait abattu les hommes de mon père, qui ainsi purent se rendre sur l’ile et en prendre possession mettant hors de route les hommes à mon père, qui la désirait également. À ce jour, je savais que jamais je ne m’identifierais à une famille propre, à mon propre péril s’il le fallait.
En plein milieu de la nuit, je me suis réveillé avec un mal de tête, je venais de reprendre conscience, retenu au mur par une chaine à mon cou, tout le monde dormait. Dès cet instant je savais qu’il n’existait personne mise à part moi-même pour parvenir à mes fins sur ce monde, je connaissait que tout ces dieux existaient bel et bien mais je ne voulais le reconnaître désormais je ne ne fiais maintenant que sur moi-même et eu le courage d’empoigner une dague à proximité. J’avais tout essayé pour passé cette chaine hors de mon coup mais elle coincait rendu au niveau des oreilles. Ce qui t’explique pourquoi maintenant je n’ai qu’une oreille. Si je voulais m’en sortir je n’avais nul autre choix. Je me suis couper une oreille, désormais la chaine avait assez de place pour sortir de mon cou. Une main sur la plaie, retenant des gémissements de douleur incroyables que je désirais hurler, je grimpa en rafalle sur le pont avant de me propulser à la mer sans être apercu, ou une fois sous l’eau, je hurla toute la douleur qui déferlait de cette oreille que je venais de me couper. Une fois de retour à la surface, je m’apercu que je passé tout près de plonger hors du navire, tete première sur un quai ou je ne savais pas que nous étions amarrés, me croyant toujours en pleine mer.
Depuis ce jour, j’ai vécu d’innombrables années dans des cavernes recullés, des vallées brumeuses de montagnes ou je fuyait mon peuple en qui je n’avais plus comfiance, mais je du me résigné avec le temps, je ne pouvait plus vaincre contre moi-même ainsi. Ayant veillit de beaucoup j'acquerit une stature mais surtout une allure moins digne d’un enfant sauvage, j’avais réintégré la citée des Nargoliths, maintenant que personne ne me reconnaissait, toutes ces années m’avait forgés un caractère incroyable qui me valait cette esprit tourmenté. Je ne m’identifiait à aucune famille, j’était percu comme un roturier mais à qui l’on reconnaissait un maigre respect.
Ça raconte en bref pourquoi mon existence je la vois comme une plaie. Je n’ai plus comfiance en personne je n’ai aucun véritable ami ou allié, la seule personne en qui je porte comfiance est moi-même je compte en mes moyens et nul autre. Voilà ce qui m’a forgé ce que je suis aujourd’hui, un être qui a toujours mit le nez partout. Mon caractère hautain et raciste ma toujours porter à adorer humilier autrui. J’ai renié ma famille de par haine de m’avoir crée et ainsi, m’obligeant a vivre cette vie qui ne vaut rien. J’ai méfiance envers quiconque, ce coup de traitre de l’époque ou les familles se livraient la guerre m’a prouver qu’en personne on ne se fiait. Je sais l’existance des autres dieux réels, mais cela ne m’empeche en rien d’en être haineux, je ne vois aucun d’entre eux apte à qui me réferer. Je me sais froid de caractère, mais n’importe quoi je ferai afin de parvenir à mes fins. De caractère impatient, impulsif, j’ai du devenir un fin manipulateur afin de survivre voilà pourquoi je connais mes capacités aujourd’hui au point d’en être devenu imbu de moi-même. Je ne reconnais aucune famille étant la mienne et renit mes sources me présentant seulement comme Ox ne dévoilant jamais ma lignée Nadak préférant me dire le vif argent, étant très représentatif de ma personnalité.
Ox Nadak est devant toi inconnu, ta langue restera bien sage à mon histoire j’ose esperer avant qu’elle ne se retrouve en sang, dans ma main gauche te laissant un goût amer à la bouche.
Ox ayant un parcours de vie indulgeant, avec ces expériences de vie boulversantes à su faire sa route en tant que roublard, plusieurs notions ayant été nécéssaire à sa survie le suivi le reste de ces jours, il savait désormais tiré profit de ce malheur qui lui était survenu.