Balade matinale.

Nombre de messages : 315 Date d'inscription : 05/11/2006

Morinwe passa lors d'une promenade matinale dans le district du port et remarqua un changement radicale dans le paysage

- Eh bien... mais où va le monde avec toutes ces nouvelles technologies ? Les architectes et les ouvriers n'auront bientôt plus de boulot maintenant que les batiment se détruisent et se construisent en une soirée.

Morinwe partit troublé et dépassé, quoique curieux de connaître la technologie employée dans ce miracle

Nombre de messages : 83 Date d'inscription : 29/06/2007

Étrangement, en une nuit, un bâtiment riche, imposant et fort en signification sur l'un des domaines importants de Sombrum avait disparu. Tous se demandait quelle genre d'ouvrier pouvait avoir tout retirer sans ne laisser aucune trace.

Nombre de messages : 424 Age : 36 Date d'inscription : 13/05/2006

Probablement un attentat mortanyss.

Nombre de messages : 259 Date d'inscription : 03/06/2007

De telles élucubrations pouvaient se produire sous des yeux hazardeux, lorsque des promeneurs peu avertit se prenaient à errer aux fraîches aurores ; juste lorsque les évaporations de cadavres en décompositions lèchent encore les papilles des narines mortelles. Les miasmes de « Sombrum la Charogne » semblaient monter à la tête de certains esprits Nargoliths…. Pauvres êtres malades, il s’en manquait de peu pour les faire sombrer dans l’aliénation la plus totale…

Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 15/10/2006

Le castel prônait le changement de la république.
Mais était-ce réellement véridique? Car de corps, la République muait. Mais de psyché visiblement, rien de lui donnait allures de changement.

De telles élaborations pouvaient se produire sous des yeux mystifiés, lorsque les badaud peu connaissant se feignaient à déambuler aux véhémentes aurores : juste lorsque le bouillonnement d'âmes bien en chairs révulse les conceptions de coquilles vides. L'effervescence de « Sombrum la Baronne » semblait fendre les espoirs de certains esprits nargoliths... Pauvres êtres malades, ils avaient depuis longtemps sombrés loin de leur essence, s'aliénant une entité dont ils n'avaient pas conscience.

De toute façon, qui a dit que les morts avaient une conscience ?

Lindelë repartit sillonner les rues en se demandant où il avait bien pu avoir ces pensées. Après tout, ce ne sont que des pensées et il gardait confiance que nul ne savait lire les siennes, aux dernières nouvelles. Quoique... avec tout ces miracles de technologie de nos jours... plus personne n'était sûr de rien.

Ha ! Là était donc toute l'astuce de la chose... plus personne n'était sûr de rien.. et c'était bien mieux ainsi. Il se prit d'un bref rire, ah ima... le château avait toujours su les devancer d'un pas.