le bateau saddlerian partageait les moeurs des vagues de la mer de ses énormes voiles voilés de poudre d'or enrobé d'un malice inégalé. Le vent soufflant vicieusement au travers les arts exécutés en ses entrailles. Les âmes des nouveaux-né périssaient a vue d'oeil, le long du dos de l'océan, dénué de leur os, un être de sept pied, maladivement squeletique les observaient couler, la bouche emplies de leur succulentes entrailles enrichies de veines encore en décomposition. Les pupilles ensanglantés sous les effets d'un opium des terres chaudes, il ne pouvait ce résigner a cesser son carnage qu'il fesait perdurer depuis déja huit siècles. Un plaisir malsain... son immortalité était affamé...