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| Hector : noble Nargolith | |
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+2Azyr'Shaan Saddlerian Hector, Nargolith 6 participants | Auteur | Message |
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Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:11 | |
| Bonjour, chers Nargoliths.
Voici le Background de mon futur personnage, Hector.
Je suis ouvert à tout commentaire.
Prologue
Il faisait nuit noire. Dehors, la pluie battait à tout rompre. Attablé au fond d’une taverne de Citria, deux silhouettes discutaient à la lueur d’une bougie. Homme : « Ainsi, mon ami, vous dites vous prénommer Hector? » Hector : « C’est cela, en effet, très cher confrère. Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte du domaine des Havres Bourguignons. » Homme : « Est-ce là votre nom complet? » Hector : « En fait, cher collègue, il ne s’agit que de celui de mon père. Mon nom complet est Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et de feue Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. Mais, à des fins de simplicité, l’on m’adresse simplement par Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons. » Homme : « Je vois. » L’inconnu porta son verre à ses lèvres. Tandis que le doux nectar coulait sur sa gorge, il détailla son interlocuteur. Un homme grand, de bonne carrure et aux fortes épaules, dont les yeux bleus-gris contrastaient avec ses cheveux noir jais. Ses yeux. Ils pétillaient d’une vivacité et d’une soif de vivre qu’il avait rarement vu autre que chez les courtisanes qui se délectaient de sa verge lorsqu’il passait au manoir. Il pensa à Michelle, à Kristine et à Mari-Anna. Il avait envie d’aller en empaler quelques unes mais, hélas! il avait engagé la conversation avec cet homme. Néanmoins, Hector le fascinait : cet homme semblait avoir un passé et une histoire à raconter et, fort bien en fasse, il adorait les histoires. Hector : « Mon cher Charles Marie-André Latour-Érigée-Ici-Bas, Baron d’Arthur-Terres, veuillez me pardonner mais, camarade, vous ne m’avez encore précisé le motif de notre discussion. » Charles : « Vous m’en voyez fort aise, très cher ami, d’introduire le sujet ici. Pour tout vous dire, hormis l’obscène, vous me firme forte impression lorsque je pénétrai cette taverne. Votre regard, surtout. Il parle bien plus que vos paroles, et me porte à croire que vous avez vécu bien des périples avant de vous rendre ici, en notre faste Cité. » Hector : « Je ne saurais mentir, très cher compatriote, et n’ai pas d’autre choix que de mettre cartes sur table à présent. Allez, que voulez-vous savoir? » Charles: « Je veux tout savoir, ami. Des débuts à cette lune, où nous nous rencontrâmes. » Hector : « Bien long périple ce sera là! Mais soit, j’aime raconter, et je juge que ma vie est une intrigue fascinante. J’aspire à ce que vous en jugiez tout autant. » Charles : « Nous verrons bien, mon ami. Mais allez! J’ai déjà trop parlé. Racontez moi d’où vous venez. »
Chapitre 1 : Le comté de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules
Hector, racontant : « Je vis le jour dans le comté de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, région du royaume d’outre-mer de Tarsda. Ma mère était aristocrate et mon père tout aussi noble, bien que ce dernier eu gagné son titre par ses exploits militaires. Le mariage de mes parents en fût un des plus réussis : ils s’aimaient tous deux tendrement. Le soir, du haut de mon lit quadruple étages, je pouvais entendre leurs ébats provenir de la chambre du dessous. Parfois même, ils me parvenaient du salon ou du grand vestibule. D’autres fois, ils retentissaient à travers les parois de la haute tour pour venir troubler le sommeil de mes sœurs. Mais, quant à moi, ces bruits étaient devenus partie intégrante de mon environnement. Et mes premières années furent marquées par le bonheur et la chaleur humaine. » « Suite au mariage de mes parents, les comtés de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, de Helm et des Havres Bourguignons furent agglomérés en un seul « super comté », sous l’égide de mon père. Ses terres s’étendaient de la mer de l’Est, à l’est, aux grandes montagnes de l’Ouest, à l’ouest. Au nord, les marécages du Nord rendaient la route presque inaccessible. Au sud, la route du Sud piquait à travers la forêt pour tourner vers l’ouest, traverser les grands bois derrière les montages et finalement déboucher à Athys Ababa, notre capitale royale. » « En ce qui attrait à nos terres, elles étaient surtout composées de plaines fertiles, parsemées de villages et de hameaux. Parfois, de petits bois ou des collines changeaient le paysage autrement monotone, mais aucun haut pinacle comme à l’ouest. » « Les deux principales villes de mes terres natales étaient les Havres Bourguignons, capitale du comté originel de mon père, et Montoir, la capitale régionale, située entre Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et Helm. Les Havres ne comptaient que 20,000 habitants, tandis que Montoir, avec ses 70,000 âmes et son architecture développée – comme la Grande bibliothèque, la Cathédrale d'Odéon ou le Château des nobles – resplendissait de mille feux. » « La population des terres était surtout composée d’Hastanes – à 70%, dirais-je – et d’une forte minorité de Kardars. L’on retrouvait également une petite communauté daelwena. De temps à autre, des Nargoliths passaient dans les terres, mais s’y attardaient rarement, puisque personne ne les appréciait outre mesure. » « Au nord, passé les marécages du Nord, l’on retrouvait le Nargoroth, une terre sauvage, remplie de hauts arbres et de lianes. Au cœur de cette contrée se trouvait la ville de Karnak, citadelle des Gorlaks que nos ancêtres avaient bannis du comté il y a des temps immémoriaux, et qui depuis avaient transmis à leur progéniture, de génération en génération, leur haine et leur soif de vengeance envers notre population. »
Premier intermède
Soudain, la porte de la taverne de Citria s’ouvrit toute grande et un homme fit irruption dans la pièce. Nu, son regard traduisait une étrange folie, et sa main droite se refermait sur une puissante lame barbare. Homme nu : « J’vais tous vous buter!!! » Hector : « Pourfendons ce manant. » Charles : « Abattons ce chien. » Tavernier : « Bonsoir Jepéka Foul-Lolman, que puis-je vous servir comme boisson aujourd’hui? » Alors qu’Hector et Charles bondissaient, lames en main, vers le dangereux désœuvré, un éclat brillant de lumière aveugla les antagonistes. Un grand homme, majestueux, vêtu d’une simple toge rouge et d’une capuche, apparu devant le nouvel arrivant. Une voix forte s’éleva dans la taverne. Inconnu encapuchonné : « Je crois que nous avons un problème ici. » Jepéka Foul-Lolman : « C’est quoi ça!?! » Inconnu encapuchonné : « Je suis un Grand Maître. » Jepéka Foul-Lolman : « Ça s’bute, un G.M. ? » Grand Maître : « Non. » Jepéka Foul-Lolman : « Gros gai. » Grand Maître : « Attention, Jepéka, cette fois je t’avertis. Si tu continues ainsi, moi, en ma fonction de Grand Maître, me verrai forcé de te bannir de ces landes. » L’homme nu hésita un instant. Il brandit finalement sa lame droit vers l’être et le chargea tête baissée. Sans sourciller, le Grand Maître pointa son index vers lui et tonna, haut et fort : « Ainsi, je te bannis des terres. » En un éclair, le forcené se résorba en néant. Hébétés, les clients de la taverne avaient le regard braqué sur l’étrange mage. Hector et Charles, quant à eux, regardaient l’homme avec admiration. Grand Maître : « Bien, cette affaire est réglée. Lorsque je disparaîtrai, vous oublierez tout ce qui vient de se produire et reviendrez au moment précédant l’irruption de ce désaxé. » Dans un nouvel éclat blanc, le magicien disparu.
Dernière édition par le Jeu 19 Juil - 13:53, édité 3 fois | |
| | | Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:12 | |
| Chapitre 2 : La jeunesse d’HectorHector releva les yeux. Il avait l’impression de s’être assoupi un instant et, à l’air qu’affichait son compagnon de l’autre côté de la table, ce sentiment était partagé. Hector : « Hum hum, que disais-je? » Charles, décontenancé : « Vous me parliez de vos landes par-delà la Grande mer, et plus spécifiquement de ce village des Gorlaks au cœur des jungles du nord. » Hector, reprenant ses aises : « Oui, en effet, cela me revient en mémoire. Cette citadelle gorlake revêt pour moi une importance toute particulière. Je n’avais encore que cinq ans quand les clans de Karnak brisèrent la paix et déchaînèrent leurs hordes contre notre comté. » « Mon père, en outre d’être Comte, était général de la légion de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules. Lorsque les Gorlaks lancèrent leur grande offensive, la veille de mon sixième anniversaire, il rallia ses troupes, leva une milice populaire de 5,000 hommes, envoya des émissaires vers la capitale royale et, sans attendre l’aide du Centre, porta la guerre aux barbares. » « Sa grande armée, en plus de compter 5,000 hommes d’arme et 1,000 légionnaires, avait pour avant-garde une cavalerie surentraînée de 500 guerriers d’élite, directement sous ses ordres. C’est au gouffre de Helm qu’il rencontra les forces gorlakes : 10,000 guerriers désorganisés, mais chacun possédant la force de trois Hastanes. Charles : « Le gouffre de Helm, qu’était-ce, une forteresse? » Hector, secouant la tête : « Du tout. C’était simplement un trou. Un trou noir, en fait. Les dieux avaient oubliés de poser du gazon à cet endroit. » Charles : « Oh. » Hector : « Je continue. » « Donc, il mena son armée aux abords du gouffre, et là, de l’autre côté, il aperçu la grande armée gorlake. Des deux côtés, les archers tirèrent une nuée de flèches sur le camp adverse, dans l’espoir de tuer le plus grand nombre d’ennemis avant le choc frontal. À travers le gouffre, un mince saillant rocheux permettait de le franchir. Mon père et sa cavalerie s’y engouffrèrent, et l’avant-garde gorlake fit de même en sens inverse. Mais mon père avait un plan, des élémentalistes daelwenas accompagnant ses cavaliers. Ces derniers incantèrent un puissant mur de flammes derrière les Gorlaks et un second devant eux, les coinçant au sommet de la corniche. Ensuite, ils incantèrent des champs de poison parmi les assaillants, et tandis que les barbares mourraient, le reste de l’armée ennemie, encore intact, exprimait vainement sa rage par de grands cris. L’on me rapporta, lorsque je fûs en âge de comprendre, que les Gorlaks hurlaient « Mudit Hurfurplé » et « Nus on ne pas savoir dissuper les sorts! » « La victoire fût, hélas! de bien courte durée. Des assassins nargoliths avaient rejoint les rangs des barbares et, se faufilant tels les Ombres, ils se ruèrent sur les commandants de notre cavalerie. Plusieurs vaillants capitaines furent blessés mortellement mais, pis que tout autre, mon père reçut un coup terrible à l’abdomen. Bien que le reste des troupes massacra rapidement ces traîtres, mon père était mourrant ainsi que la majorité des officiers. Le reste de la cavalerie se résolut à battre en retraite, emmenant les blessés et les morts avec eux. » « Cette victoire barbare fût de courte durée. Le roi, à Athys Ababa avait apprit la nouvelle de l’invasion. Il envoya un corps expéditionnaire de 20,000 légionnaires porter secours au comté qui, suite au décès de mon père, était sous la régence de ma mère jusqu’à ma majorité. La défaite des Gorlaks fût rapide. Deux semaines après la bataille de Helm, les dernières bandes gorlakes fuyaient par les marécages et dans l’ombre protectrice du Nargoroth. » « Je venais à peine d’avoir six ans lorsque j’appris de la bouche de ma mère la mort de mon père. Si une grande et vaine tristesse accabla mes trois sœurs, pour moi, les sentiments dominants étaient la colère et la rage. Une volonté de vaincre naquit alors en moi, et je –. » Homme accoudé au comptoir : « Hé, m’oua aussi c’est des Gorlaks qui ont tués mes parents, et depuis je me suis juré de les venger! » Un autre homme : « Ouin moi aussi, depuis j’ai décidé de devenir ninja. » Un troisième : « C’est ce qui me motive chaque jour dans mes démarches de domination des landes. » Les trois, à l’unisson : « Hein, on a tous un passé semblable! » Hector, soupirant : « ...Et je su canaliser cette énergie à des fins positives. Mes plans de vengeance furent prestement mis de côté et ne dictèrent pas ma ligne de conduite pour le restant de mes jours. » Homme : « Pff, il doit m’envier d’être devenu élève ninja. » Charles : « Ne vous laissez pas distraire par ces malotrus, mon ami. Continuez. Votre passé m’intéresse beaucoup. » Hector, hochant la tête : « Ainsi, je décidai de canaliser l’énergie de ma colère. » « À six ans, je commençai à m’entraîner au maniement des armes. Parallèlement, je me rendais à la Grande bibliothèque, où j’appris à lire, à écrire et à philosopher. J’appris à compter vers la fin de l’année. À sept ans, je maniais déjà la lame et portais une armure de cuir. J’avais la ferme intention de m’ériger en grand seigneur : en homme d’épée, de lettre et de pensée. Un an plus tard, j’avais dix-huit ans et la majorité nécessaire pour devenir Comte. » Charles, incrédule : « Un instant. Je crains mal vous comprendre. Vous aviez tantôt sept ans, et maintenant dix-huit. N’y a-t-il pas là insoluble mystère? » Hector : « Oh, peccadille que cela! J’étais las d’être enfant et souhaitait régner à mon tour. En outre, ma mère m’avait annoncée qu’elle mourrait bientôt. J’estime avoir fait pour le mieux. » Second intermèdeLa porte de la taverne de Citria s’ouvrit grande. Un homme jeune, aux cheveux blonds et à l’air enjoué, s’avança sans égard vers la table d’Hector et Charles. Nouveau venu : « Bonjour Hector, bonjour Charles! » Il sourit. Hector : « Qui êtes-vous? » Nouveau venu : « Mais pardi, je suis Thomas, c’est évident! » Il sourit. Charles : « Mon bon messire, détrompez-vous, ce n’est point évident. Mais d’abord, par quelle aubaine connaissez-vous nos noms? » Thomas : « C’est écrit sur vos poupées de papiers. » Hector et Charles échangèrent un regard, sidérés. Hector : « /add Thomas » Thomas / « Salut mec. » Hector / « Salut. Est-ce que tu peux me dire de quoi tu parles? » Thomas / « Bah, j’ai lut ton nom sur ta poupée de papier (paperdoll). » Hector / « Paperdoll...Rofl, tu es nouveau? » Thomas / « Fraîchement inscrit! » Hector / « Ok. Bon, paperdoll ne veut pas dire poupée de papier, mais parchemin. Thomas / « Ohhh! Je vois. Merci mec. » Hector / « De rien. Autre chose, les informations dans le paperdoll ne doivent pas être prises en compte IG, à l’exception de la description physique. » Thomas / « Ohhh! Ok. Je ne savais pas. Merci encore. » Hector / « De rien. Je quitte le party. » Thomas / « Your party has disbanded. »Thomas, note to self : « Ohhh! Comment il fait ça, il est fort le mec! »
Dernière édition par le Jeu 19 Juil - 14:01, édité 3 fois | |
| | | Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:13 | |
| Chapitre 3 : Athys Ababa
Hector, reprenant : « Mes dix-huit ans vinrent enfin. Ce jour là, je reçus une lettre d’Athys Ababa. L’on m’ordonnait de me rendre en la capitale royale afin d’être créé Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » Charles : « Je vois. » Hector : « Déterminé à faire un triomphe, j’ordonnai que l’on scelle mon plus noble cheval, un destrier blanc à la crinière blonde. Je donnai l’ordre à mes vingt meilleurs cavaliers de m’accompagner jusqu’à la Cité. À midi, nous partîmes par la route du Sud, au sud, nous piquâmes à travers bois en contournant les grandes montagnes de l’Ouest, à l’ouest, et nous remontâmes vers le nord, en suivant la route royale du Nord, pour finalement déboucher sur une vaste plaine. » « Nous étions enfin parvenu dans les terres royales. Au loin, dans la plaine, se dressait Athys : une gigantesque cité blanche, de 300,000 habitants de toutes races et de toutes formes. La ville était ceinturée d’une rivière – que dis-je – d’un fleuve! Les hautes murailles de la métropole se dressaient tout autour, et les pinacles des tours de garde étaient si élevés que l’on ne pouvait en calculer la hauteur. Nous parvîmes au pont : il était long de cinq cent verges et large de cent. » « Tandis que nous le franchissions, tout le côté solennel de notre équipée nous devint presque palpable. Chacun des cavaliers de mon escorte était remplit de fierté, moi plus que tout autre. » « Lorsque nous parvîmes à l’entrée, les vigils ouvrirent grand les portes de la capitale. Les badauds et les paysans se courbaient sur notre passage. Les femmes quant à elles pleuraient, tellement elles étaient émues de la noblesse inhérente à notre compagnie. J’envoyai un détachement de quinze de mes cavaliers au Palais afin de m’annoncer. Je regardai les grandes horloges des tours : 15 :00. Je devais n’être au Palais qu’à 18 :00. » « Je décidai d’aller me restaurer avant la cérémonie. J’ordonnai à ce qui restait de mon escorte – cinq hommes – de me suivre vers l’enceinte de la Haute ville, à quelques milles de là. Nous nous dirigions vers le Festin des Nobles, quant soudain un garde m’invectiva. »
« Garde métropolitain : « Halte! Garde métropolitaine. Vous êtes en état d’arrestation! » « Hector, jeune : « Comment osez-vous ainsi vous adresser au Comte de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules? Nommez-vous, manant! » « Garde métropolitain : « Heu... Je suis l’aspirant Julius Leclerc! » « Hector : « Et bien, sachez que vous vous adressez à un Com... » « Second garde : « Aspirant Leclerc, avez-vous encore oublié la règle numéro 4 : L’on ne donne pas son nom aux contrevenants!!? » « Aspirant Leclerc : « Non, décurion. Mais cet homme prétend être Com... » « Décurion : « Voyons, il est évident qu’il ment. Regardez le et ses pitoyables camarades. Cela est-il digne d’un Comte? » « Aspirant Leclerc : « Non, décurion! » « Décurion : « Voilà qui est mieux. Tu es en état d’arrestation, crapule. » « Hector, offusqué : « Et sous quel motif? » « Décurion : « Article 3 : Monture en ville, petit minable! » « Hector : « Cela ne peut être qu’une misérable farce. » « Décurion : « Une farce! Suis-nous immédiatement à la caserne! » « Hector, furieux : « Je refuse que l’on me traite de la sorte. » « Décurion : « Article 2 : Refus de coopération! Cela te coûtera cher. » « Hector, enragé : « Vous mériteriez que je vous empale de ma lame! » « Décurion : « Article 5 : Menace de mort! Ton dossier s’alourdit! » « Hector, rouge : « Vous brûlerez en enfer! » « Décurion : « Bien, aspirant. Il refuse de nous suivre. Il est regrettable qu’ils soient cinq et que nous ne soyons que deux. »
« À ce moment, une second patrouille de quatre gardes passa. »
« Décurion : « Haha! Quel heureux hasard, non? Maintenant, suis-nous sans discuter. Quant à tes acolytes, ils peuvent partir, mais à pied. Tu auras en outre à débourser 5,000 pièces pour payer leurs amendes. » « Hector, cherchant à se ressaisir : « Vous êtes un fourbe. » « Décurion : « Article 7 : Insulte envers un officier en service! Bon, suis-nous maintenant. Allez, hop! »
Hector : « La patrouille métropolitaine me força à descendre de monture et à leur céder les rennes. Ils me lièrent les poignets et me dirigèrent, à force d’injures, vers la caserne de la haute. » « C’était un grand complexe de pierres grises, avec deux battants métalliques en guise d’entrée. Les gardes me firent franchir cette arche et je me retrouvai dans la cour intérieure. Oh, elle n’était pas bien grande. À peine soixante-quinze verges carrées. » « Le décurion se dirigea vers la petite porte métallique du bâtiment principal et frappa quelques coups. Un instant plus tard, un grand homme carré d’épaules ouvrit la porte. »
« Décurion : « Tribun, nous ramenons un prisonnier. Ce dernier a commit, dans l’ordre, les infractions suivantes : Article 3 : Monture en ville, article 2 : Refus de coopération, article 5 : Menace de mort, article 5 : Menace de mort et enfin article 7 : Insulte envers un officier en service. » « Tribun : « Voilà qui est très grave. Si cet homme à bel et bien commit l’article 3 : Monture en ville, l’article 2 : Refus de coopération, l’article 5 : Menace de mort, l’article 5 : Menace de mort et l’article 7 : Insulte envers un officier en service, une peine dure mais juste devra lui être attribué. C’est de l’excellent travail, décurion Tirium. « Décurion Tirium : « Je vous remercie, tribun. » « Tribun : « Bien, faites le entrer. Nous allons procéder à l’interrogatoire. Y a-t-il des témoins? » « Décurion Tirium : « Tous les gardes présents, centurion. Mais l’aspirant Leclerc était là dès le tout début. » « Tribun : « Bien, les quatre autres peuvent disposer. Emmenez le prisonnier à l’intérieur pour l’interrogatoire. » « Décurion Tirium : « Oui, tribun! »
Hector : « Ils me firent passer la porte, et je l’entendis se verrouiller derrière moi. J’étais maintenant seul avec l’aspirant Leclerc, le décurion Tirium et le tribun. Ils me forcèrent à m’asseoir sur une chaise devant une grande table de bois et lièrent mes poignets à la chaise. »
« Tribun : Bien. Pour cette fois, l’aspirant Leclerc prendra la déposition du contrevenant. Vous, décurion Tirium, vous vous chargerez de l’interrogatoire. Je me contenterai de surveiller l’opération. » « Décurion Tirium : « À vos ordres, tribun! »
Hector : « Tandis que le tribun se mettait en retrait, le décurion Tirium tira deux autres chaises et les posa face à moi, de l’autre côté de la table. Il fit signe à l’aspirant d’en prendre une. Quant à lui, il prit place droit devant moi. »
Troisième intermède
Hector : « (Afk. Je vais pisser.) » Charles : « (K) » Dans la taverne de Citria, les premières lueurs de l’aube se glissaient par les fenêtres. La pluie avait cessée, et le matin ne tarderait plus à se lever. Charles : « Tum du dum... » Charles / « Hé Michelle, laisse moi te dire que t’es une vraie slut. » Michelle / « Hum, ouais... » Charles / « T’as d’autres pics à m’envoyer? » Michelle / « Peut-être...Je ne sais pas trop si tu les mérite. » Charles / « Come on... T’étais trop kinky sur les dernières. » Michelle / « Je suis OQP là, maintenant. » Charles / « Moi ‘tou. » Michelle / « On en reparlera sur msn. Là, je dois quitter. » Charles / « C’est ça, laisse moi en plan. » Michelle / « Hé, tu les auras, tes pics. Tu l’as dit toi-même : Je suis une vraie slut. » Charles / « Your party has disbanded. » Charles, note to self : « Je l’adore. »
Dernière édition par le Jeu 19 Juil - 14:05, édité 3 fois | |
| | | Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:13 | |
| Chapitre 4 : L’interrogatoire
Hector : « (Re) » Hector, songeur : « Que disais-je, cher confrère? » Charles : « La garde métropolitaine s’apprêtait à vous interroger. » Hector : « Oui, cela me revient. » Hector, narrant la scène : « L’aspirant Leclerc et le décurion Tirium venaient de s’asseoir devant moi. »
« Décurion Tirium : « Bon. Aspirant, tenez vous prêt à noter tout ce que cette crapule dira. » « Aspirant Leclerc : « Oui, décurion! » « Décurion Tirium : « Alors, salopard, quel est ton nom? » « Hector : « Je suis le Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Décurion Tirium : « Je vois. » « Aspirant Leclerc : « Hum... Décurion, je ne me souviens plus du reste. » « Décurion Tirium, agacé : « Du reste après quoi!!!? » « Aspirant Leclerc : « Après, hum, après... J’ai eu le temps de noter ceci : Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline. » « Décurion Tirium : « Répète ton nom, ordure! » « Hector : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Aspirant Leclerc : « Heu, heu... Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons de Laframboise-Bleue-du-truc... » « Hector : « Il a omit Victoria de Castel-Blanc. » « Décurion Tirium, exaspéré : « Aspirant, allez-vous noter son nom oui ou m****!? » « Aspirant Leclerc : « Décurion, son nom est bien trop long. » « Décurion Tirium : « Règle numéro 2 : Lors de l’interrogatoire, le garde métropolitain devra noter le nom COMPLET du contrevenant. L’aviez-vous déjà oublié!!? » « Aspirant Leclerc : « Non, décurion! » « Décurion Tirium, à Hector : Répète ton nom!! » « Hector, las : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Aspirant Leclerc : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, – le père et le fils ont le même nom, j’ai compris! – Comte des Havres Bourguignons et... J’ai perdu le fil, décurion. » « Hector, très las : « Ne croyez-vous pas qu’il serait plus simple de le raccourcir à Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons? » « Décurion Tirium : « L’on t’as pas donné la permission de parler, bordel!! » « Tribun : « Bon, bon, je suis de l’avis du prisonnier. Raccourcissez le nom à : Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons. » « Hector : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons. » « Tribun : « Je doute que vous soyez vraiment Comte. » « Décurion Tirium : « Bon, bon, bon. C’est noté, aspirant? » « Aspirant Leclerc : « Oui, décurion! » « Décurion Tirium : « Bon!! À présent, notez l’acte d’accusation : Article 3 : Monture en ville, article 2 : Refus de coopération, article 5 : Menace de mort, article 5 : Menace de mort et enfin article 7 : Insulte envers un officier en service. » « Aspirant Leclerc : « C’est fait, décurion! » « Décurion Tirium, à Hector : « Que plaides-tu, lâche!? » « Hector, fier : « Non coupable. » « Aspirant Leclerc : « C’est écrit, décurion! » « Décurion Tirium, furieux : « N’écrivez pas cela, aspirant! » « Aspirant Leclerc : « Non... Oui, décurion! » « Tribun : « Suffit! Cet interrogatoire ne mène à rien. Je m’en chargerai moi-même. Vous prendrez les notes, décurion Tirium. Quant à vous aspirant, allez donc nourrir les prisonniers. » « Aspirant Leclerc : « Oui, tribun! »
Hector, narrant la scène : « Après qu’eut disparu l’aspirant, le décurion prit sa place et le tribun vint s’asseoir devant moi. »
« Tribun : « Bien. J’aimerais que vous nous fassiez part, « Comte » de Lalance, des circonstances de votre entrave à la loi. » « Hector, soupirant : « Je croyais qu’en mon statut de noble, j’avais droit de conserver ma monture en ville. En outre, je suis attendu au Palais pour la cérémonie de mon investiture. » « Tribun : « Si je comprend bien, vous n’êtes pas encore Comte, mais allez le devenir... Vous n’aviez donc, lorsque vous fûmes arrêté par le décurion Tirium, le droit d’être à cheval en ville. » « Hector : « Ne jouez pas sur les mots! » « Tribun : « C’est ainsi que notre cité fonctionne, mon cher Hector. La loi est dure, mais c’est la loi. Vous serez donc enfermé pour vos actes, soit l’article 3 : Monture en ville, l’article 2 : Refus de coopération, l’article 5 : Menace de mort, l’article 5 : Menace de mort et l’article 7 : Insulte envers un officier en service. Vous devrez bûcher 5,000 bûches et miner 5,000 minerais de fer afin d’être libéré. »
Hector : « Je tentai de protester, mais en vain. Ces hommes ne savaient fonctionner que par le codex. »
« Tribun : « Bien, décurion, est-ce que tout est noté? » « Décurion Tirium : « Oui, tribun! » « Tribun : « Parfait. Maintenant, enfermons cet individu. »
Ils se levèrent, firent le tour de la table et me délièrent. Me plaçant une lame entre les omoplates, le décurion m’ordonna d’avancer vers une grille : derrière se trouvait un long corridor menant aux cellules. C’est alors que l’on frappa fermement à la porte.
Chapitre 5 : La conseillère du roi
« Voix féminine : « Ouvrez! Immédiatement. » « Décurion Tirium : « Oh non! L’abruti disait vrai. » « Tribun : « Damnation! C’est la Fhai’. » « Décurion Tirium : « Si elle le voit ici, nos carrières et nos vies sont en jeu. » « Fhai’ : « Je ne répéterai pas trois fois, tribun Flamberg. »
Hector, racontant : « Le tribun Flamberg ne se fit pas prier plus avant. Il couru littéralement à la porte pour l’ouvrir. Le décurion Tirium m’ayant lâché, je pus m’avancer afin de voir qui venait à ma rescousse. » « J’en tombai littéralement à la renverse. Elle était d’une beauté statuesque. Ses longs cheveux noirs étaient attachés en une queue de cheval derrière sa tête. Son visage aurait tout aussi bien pu être sculpté dans le marbre par le plus talentueux des artisans kardars. Ses yeux foudroyaient de colère les deux officiers et sa bouche, muette, affichait une moue furieuse. Sa robe de soie noire, collée à son corps, épousait magnifiquement ses seins. En plus, elle était parfumée et dégageait une odeur exquise. Elle était flanquée de deux énormes brutes en armures plaquées. »
« Flamberg et Tirium étaient tout simplement terrorisés. »
Charles : « Et vous? » Hector, les yeux dans le vague : « Simplement bandé. »
« Fhai’ : « Lequel d’entre-vous, messires, aura la diligence de m’expliquer le pourquoi du comment de la situation dans laquelle se trouve le Comte Hector de... Heu... Comment dites-vous, déjà? » « Elle braqua son regard sur moi. » « Hector : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Fhai’ : « Je vois. » « Les deux officiers échangèrent un regard nerveux. » « Fhai’ : « Alors? J’attends. » « Tribun Flamberg : « Je vous amène immédiatement le responsable, Fhai’. » « Le tribun fit demi-tour, ouvrit grand la grille des geôles, et poussa un cri dans le couloir. » « Quelques instants plus tard, l’aspirant Leclerc arriva au pas de course. » « Tribun Flamberg : « Voici le coupable, Fhai’. Il a accusé le noble Comte de Lalance... Hum... Comment dites-vous, encore? » « Hector, agacé : « Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Tribun Flamberg : « C’est cela. Eh bien, cet aspirant l’a accusé de chevaucher en ville, ce qui se traduit par une infraction de l’article 3 du code pénal, soi... » « Fhai’ : « Je connais le code pénal, tribun Flamberg. » « Tribun Flamberg : « Veuillez me pardonner, Fhai’... Hum, mais... Il demeure que le Comte, ici présent, n’avait pas le droit de chevaucher en ville avant la cérémonie d’investiture... » « Fhai’ : « Croyez-vous que les lois soient écrites pour être prises à la lettre, commandant Flamberg? Elles sont sujettes à votre logique et bon sens, comme toute chose d’ailleurs. Enferme-t-on un homme qui s’apprête à être créé Comte simplement car il était pour lui trop tôt – de quelques heures à peine – pour jouir de ses privilèges? Répondez-moi vite, tribun, mais attention! je n’accepterai pas d’erreur de votre part. » « Tribun Flamberg, nerveux : « Heu... non? » « Fhai’ : « Exact. » « Le tribun poussa alors un soupir de soulagement. Quant à la Fhai’, elle tourna ses yeux sévères vers moi. » « Fhai’: « Je dois malgré tout reconnaître, Comte Hector, que vous aviez à lire le codex des lois en entrant dans la cité. Ceci dit, j’estime que l’affaire est close. Il est déjà tard et vous êtes attendu au Palais par le roi. Suivez-moi vite. » « Je ne me le fis pas dire deux fois. Je l’aurais suivi jusque dans les entrailles de la chair. » Charles : « Hum? » Hector, secouant la tête : « Terre. »
Dernière édition par le Jeu 19 Juil - 14:20, édité 7 fois | |
| | | Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:14 | |
| Chapitre 6 : Initiation
« Je suivis la Fhai’ hors des murs gris de la caserne et jusqu’à son carrosse. Là, l’un de ses deux gardes du corps nous servit de cocher, tandis que l’autre retourna dans le bâtiment pour « corriger », selon les termes de ma libératrice, les deux officiers et le jeune aspirant Leclerc. » « Fhai’ : Lorsque nous serons parvenus au Palais, je me déroberai à votre compagnie. Entre temps, l’on m’a chargé de vous apprendre l’étiquette de la Cour. Je doute que vous la sachiez. Tout Comte que vous êtes, vous demeurez un provincial. » « Elle esquissa un sourire. » « Hector : « Vous avez raison. J’ai beaucoup à apprendre. » « Fhai’ : D’abord, lorsque vous vous adressez à une personne de rang plus élevé que vous, vous nommez son titre. Votre dernière phrase aurait donc dû être : « J’ai beaucoup à apprendre, Fhai’. » « J’hochai la tête. » « Fhai’ : « Bien. Passons aux personnalités de la Cour. Il y a d’abord le roi, Guillaume II. Le connaissez-vous déjà un peu? » « Hector : « Ma mère m’a donnée une bonne éducation, Fhai’. Elle m’a tout dit ce qu’il y avait à savoir sur lui : Un grand combattant, un chef né, un stratège brillant, un seigneur magnanime et un gestionnaire hors pair. Si je ne me trompe – et rectifiez-moi, Fhai’, si je me trompe – il vient de fêter son soixante-troisième anniversaire il y a quelques mois. » « Fhai’ : « Tout est juste. Mais vous ne m’en avez pas dit sur son caractère. » « Hector : « C’est car je ne l’ai jamais rencontré, Fhai’. » « Fhai’ : « Sachez qu’il est homme d’action et de projets; qu’il n’aime pas les courbettes, ni les compliments faciles. Sachez aussi qu’il sera très franc avec vous – ce qui ne veut pas dire forcément agréable – et que vos travers, ou ce qu’il voit comme tel, vous serons reprochés. » « J’acquiesçai. » « Fhai’ : « C’est un homme paternel. Fiez-vous à ses conseils : ils sont de bon augure, généralement. » « J’acquiesçai de nouveau. » « Fhai’ : « Il y a aussi le chancelier royal, Otto. Il est très vieux, et très malade. En fait, il y a de fortes chances qu’il trépasse dans les mois qui viennent. Je doute que vous puissiez vraiment le rencontrer, ou que cela ait une quelconque importance pour vous... » « Fhai’ : « Il y a aussi le Shai’, le conseiller royal. Mon homologue masculin. » « Hector : « J’ai ouï dire qu’il était grand poète, Fhai’. L’on m’a dit qu’il écrivait beaucoup sur l’amour. Chez moi, en Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, il est surnommé le Poète de l’amour. » « Elle pouffa de rire. » « Fhai’ : « Ce ne devrait être le cas. Ici, son surnom est le Poète du peuple. » « Hector : « Et ce pour quelle raison? » « Fhai’ : « Car c’est un communiste, voyons. » « Hector : « Le Shai’Guevara, un communiste? » « Fhai’ : « Tout à fait. » « Hector : « Et de quelle trempe d’homme est-il, Fhai’? » « Fhai’ : « Il sait mettre ses idées de côté au profit de son monarque, qu’il admire. C’est un homme courageux et combatif. Vous l’apprécierez. Bien sûr, il cherchera à vous communiser, mais tout homme a ses travers. » « Fhai’ : « Nous voilà en vue du Palais. C’est ici que nos routes se séparent. Elles se recroiseront sans doute bientôt. » « Le carrosse s’arrêta, et le cocher m’ouvrit la porte. Tandis que je m’en extirpais, elle m’appela et, me retournant, elle me tendit la main. » « Fhai’ : « Vous oubliez quelque chose. » « Je pris délicatement sa main et, me penchant en avant, lui baisai. Elle m’adressa un doux sourire en retour. » « Fhai’ : « Au fait, très cher, je suis la Fhai’Lation. »
Quatrième intermède
Charles : « (OMG OMG LOL LOL LOL LOOOOOOOOOOOOOOOL ROFL ROFL ROFL ROFLMAO LOOOOLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL LOLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL LOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOLLLLLLLLLLLLLLL) » Hector : « Charles has invited you to his party. » Hector : « /accept » Charles / « OMG OMG OMG mec, elle t’a vraiment dit ça? Tu ne me feras pas croire que c’est un hasard, ce nom! Ta Fhai’, c’est une grosse salope. » Hector / « En fait, elle est plutôt jolie. » Charles / « Quoi, tu veux dire en vrai? » Hector / « Oui, on a jasé quelques fois par webcams interposées. » Charles / « Est-ce qu’elle t’a dit si elle suce? » Hector / « Ça lui arrive. » Charles / « OMG OMG OMG OMG!!! C’est carrément une salope top class! » Hector / « Tu sais, cette pratique est courante aujourd’hui. Et puis, on ne juge pas quelqu'un à ce qu'il fait au lit. On a eu de merveilleuses discutions sur un tas d’autres sujets, tous les deux. Charles / « OMG j’m’en balance. File moi son adresse msn. » Hector / « Je doute qu’elle apprécie . » Charles / « Dit lui de te donner des pics kinky! Après tu me les envoiera! » Hector / « Dit... Tu as déjà couché, avec une fille? » Charles / « À ton avis? » Hector / « Je ne suis pas devin. » Charles / « Tu sais, le party ça gâche vraiment les scènes rp. Restons concentrés sur le jeu. » Hector / « Your party has disbanded. » Hector, note to self : « Haha. »
Chapitre 7 : La cérémonie d’investiture
Charles, vexé : « Eh bien, mon ami, pourquoi vous arrêter ainsi? » Hector : « J’ai eu une distraction. Je reprends. » « Je venais donc de quitter la Fhai’Lation. » Charles : « (OMG mec, dit simplement Fhai’. Tu vas me faire mourir.) » Hector : « La Fhai’, donc. » « J’étais à présent devant le Palais royal. Il était absolument gigantesque : ses murs de marbre s’étendaient, de part et d’autre, à l’infini. Ses hauts créneaux perçaient les nuages et de majestueuses bannières y pendaient, flottant et gonflant dans les grands vents de l’ouest. « Je gravis les marches blanches qui menaient à la porte d’entrée. Parvenu tout en haut, je me présentai à deux hallebardiers qui, conscients de mon titre, s’écartèrent révérencieusement. » « J’arrivais enfin à destination. Aussitôt entré, un serviteur m’aborda et, après quelques courbettes, m’invita à le suivre jusqu’aux quartiers du monarque. » « Il m’entraîna dans un dédale de corridors. Une noble tapisserie aux armoiries de la famille royale ornait les murs et, ça et là, j’apercevais des cadres représentant divers membres de la royauté, vivants ou morts. Je reconnus les prédécesseurs directs de Guillaume II, Hindenburg et son grand-père Ludendorff, ainsi que l’héroïque fondateur de notre nation : Bismarck. Nous traversâmes une vaste salle à manger, encore quelques corridors, et enfin nous débouchâmes devant la salle du roi. » « Elle était là, la Sublime Porte. Je ferais bientôt mon entrée à la Cour. »
« Serviteur : « Veuillez attendre ici, sieur. Je vais vous annoncer. Mais d’abord, donnez moi votre nom et vos titres. » « Hector, fier : « Je suis le Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm. » « Serviteur : « Je vois. » « Il entrouvrit les portes et s’y faufilât. » « Serviteur : « Monseigneur, le Comte de Laframboise est ici. » « Guillaume : « Qu’il entre. » « Le serviteur revint aux portes, les ouvrit grandes et m’adressa un sourire. » « Serviteur : « Entrez. » « Au fond de la salle, assit sur un trône feutré rouge, était le roi. À sa gauche, sur une chaise coussinée, se tenait un autre homme. De part et d’autre de l’allée qui menait au roi, des hommes en arme étaient disposés en rang d’honneur. J’eus le plaisir d’y reconnaître certains de mes cavaliers. »
« Guillaume : « Vous êtes en retard. Il est 18 :12. La ponctualité est nécessaire, chez un noble. » « Hector : « Cela ne se reproduira plus, Monseigneur. » « Guillaume : « Je ne vous en tiendrai pas rigueur pour cette fois. Votre père, Nestor, fût longtemps l’un de mes plus proches collaborateurs. Sa mort a laissée un vide dans le royaume... Peut-être, qui sait, pourrez-vous le combler. » « Guillaume : « Je songeais, pour votre investiture, à organiser une grande cérémonie à ciel ouvert à laquelle pourrait assister le peuple. Toutefois, le Shai’Guevara ici présent me fit remarquer que la plupart de nos concitoyens étaient partis chasser. Alors, nous ferons dans le simple. » « Guillaume : « Approchez, à présent. » « Je m’exécutai, m’avançant près du trône. Le roi se leva, dégaina son épée et me fit signe de mettre un genou à terre. Levant haut sa lame, il plongea son regard perçant dans le mien. » « Guillaume : « Kal Vas Flam. » « Hector, surpris et blessé : « Ah! » « Guillaume : « (m****, mauvaise macro.) » « Shai’Guevara : « In Mani, In Mani. » « Guillaume, dégainant de nouveau : « Par les pouvoirs qui me sont conférés, Hector, fils de feu Nestor de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons, Comte des Havres Bourguignons et d’Estelle Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules, Comtesse-mère du domaine de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules et du comté de Helm, je vous crée Comte Hector de Lalance de Bassilius-Verte-Colline des Havres Bourguignons Victoria de Castel-Blanc de Laframboise-Bleue-du-Mont-des-Saules. » « Il posa le plat de sa lame sur mon épaule gauche, et ensuite sur la droite. » « Guillaume, solennel : « Vous êtes maintenant officialisé Comte, Hector. » « Guillaume : « À présent, dirigeons-nous vers la salle à manger. Un grand banquet nous attend. Vous y rencontrerez de nombreux membres de la noblesse. »
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| | | Hector, Nargolith
Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 19/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 5:15 | |
| Chapitre 8 : Le banquet
Hector, narrant la suite : « Nous suivîmes le roi hors de la pièce, traversâmes quelques corridors et débouchâmes sur la salle de banquet. » « Les cuisinières n’avaient pas chômées : vide lorsque je vins pour voir le roi, une grande table rectangulaire avait été placée au centre de la pièce et, tout autour, des convives de marque étaient attablés. La table était remplie de victuailles. L’on retrouvait, rien que dans les viandes, du caribou, du sanglier, du cerf de Virginie – bien que nul ne sache ce qu’était la Virginie –, du bison, du canard, de la dinde, du poulet et du cochon. » « Le roi prit siège à l’extrémité nord de la table. Ne sachant trop où me placer, je tirai la première chaise à ma droite. Un instant plus tard, le Shai’ vint s’asseoir à mes côtés. Nous étions sur la rangée gauche et, face à nous, étaient attablés huit hommes et deux femmes de la noblesse tarsdienne. À nos côtés se retrouvaient sept autres convives, tous masculins. » « Je cherchais un visage familier quand le Shai’ m’adressa la parole. » « Shai’Guevara, bas ; « Dites-moi, Comte Hector, avez-vous une calligraphie soignée? » « Hector, bas, intrigué ; « L’on m’a souvent complimenté sur elle, Shai’. Mais... Puis-je connaître le motif de cette question? » « Shai’Guevara ; « Ma secrétaire est tombée malade, récemment. Depuis, je cherche un nouveau scribe. Vous pourriez remplir ce rôle jusqu’à ce que j’en déniche un, qu’en dites-vous? » « Hector ; « Eh bien, si ce n’est que temporaire, je n’ai pas d’objection. » « Shai’Guevara ; « Il va de soi que vous serez rétribué... Pas en or, puisque vous êtes déjà riche. Mais en informations. » « Hector ; « En informations? » « Shai’Guevara ; « Oui. Si vous avez des interrogations sur quoi que ce soi qui touche à la Cour, vous n’aurez qu’à m’en faire part et je vous répondrai de mon mieux. » « Hector, songeur ; « Eh bien, j’en suis fort aise, Shai’. Pourriez-vous commencer par m'indiquer les plus importants invités? » « Shai’Guevara ; « Bien sûr. Voyez-vous, assit en face, en quatrième place à partir du roi, ce grand homme mince aux cheveux blonds? » « J’acquiesçai. » « Shai’Guevara ; « Il s’agit du Baron Gilbert Speer, architecte royal. Il est très apprécié de Guillaume. Ses terres, le Württemberg, s’étendent de la mer de l’Ouest jusqu’aux grandes montagnes blanches. » « Shai’Guevara ; « Maintenant, si vous regardez à droite, dans notre rangée, vous verrez, en avant-dernière place, le Duc Joaquim Libbendrop. Il est le Premier diplomate du royaume. Il ne possède plus de terre, toutefois. Ses hautes fonctions l’obligent à résider à même le Palais. » « Hector, hochant la tête ; « Et ce gros homme, là-bas? » « Shai’Guevara ; « Oh. Le Comte Ernest Rome. Il est maréchal de la Suprême Armée, soi l’état-major du royaume. C’est un homme désoeuvré, sans savoir-vivre et arrogant. Il est très populaire auprès du peuple. » « Ernest Rome, tout haut : « e/Le dernier film de Van Damme est excellent! » « Ernest Rome : « (Doh!!) » « Shai’Guevara, soupirant ; « Vous voyez le genre. »
Hector : « C’est alors que je l’aperçus. Elle venait tout juste d’entrer dans la pièce. Magnifique dans sa robe de lin du soir, elle portait un pendentif de cristal, noué à son cou par une chaîne en or. Dans la pièce, la clameur du festin se tus – Rome parvint même à réprimer un rot – et les regards se tournèrent lentement vers elle. Jamais auparavant n’avais-je vu pareille beauté : reine de glace, elle nous irradiait de sa prestance. « Guillaume : « Ma Fhai’, vous êtes en retard. Il est 18 :55, et nous dînions à 18 :45. Mais venez : prenez siège à mes côtés. » « D’un geste de la main, il lui indiqua la chaise à sa droite. Lorsqu’elle fut assise, le roi prit la parole. »
« Guillaume : « Messires, mesdames, nous sommes à présent tous réunis. Il est temps de manger. » « Négligeant les viandes et les pâtés disposés sur la table, les invités ouvrirent leur sac et en extirpèrent quelques miches de pain, des cuisses de poulet et, dans le cas du maréchal, un unique gigot d’agneau. » « Hector, confus ; « Dites moi, Shai’... Pourquoi personne ne se sert-il des mets alléchants déjà sur la table. » « Shai’Guevara, amusé ; « Mais allez-y. Servez-vous. » « Je tendis la main vers une attrayante charcuterie de volaille posée juste devant mon assiette. Lorsque je vins pour la saisir, je n’y parvins pas. » « Hector, très confus ; « Il y a là quelque sombre manège... » « Shai’Guevara, retenant un rire ; « Toutes ces victuailles sur la table ne sont que décoration, Comte Hector. Mangez plutôt ceci. » « Il me tendit des lanières de cuir de bœuf et un verre de vin. » « J’acceptai. »
« Après avoir terminé mon repas, je me retournai vers le Shai’. » « Hector, toujours bas ; « J’ai une autre interrogation, Shai’. » « Shai’Guevara ; « Allez-y. » « Hector ; « La Fhai’... Quel est son nom? » « Shai’Guevara ; « Ne vous l’a-t-elle pas dit? Elle est la Fhai’Lation. »
Charles : « (LMAO, encore.) »
« Hector ; « Certes, Shai’. Mais elle doit bien avoir aussi un prénom? En fait, j’aimerais savoir son nom complet. » « Shai’Guevara ; « Son nom complet? Si je ne me trompe, elle est la Fhai’Ioulia Tymochenko Svalbard-Irkoutsk-Silastevanovitch de Pic-aux-Loups-Gris et de Lation-Bleue-Azure, fille du feu Baron Viktor Ioutchenko Svalbard-Irkoutsk de Pic-aux-Loups-Gris et de feue Baronne Katerina Silastevanovitch de Lation-Bleue-Azure, dite Fhai’Lation. « Hector ; « Je vois. » « Hector, soupirant ; « Ne vint-il jamais à l’esprit de quiconque qu’il serait plus...conforme, de simplement la nommer Fhai’Ioulia? » « Shai’Guevara, agacé ; « Bon sang, Comte. Fhai’Lation. Vous auriez laissé passer un tel jeu de mot? » « Je soupirai. » « Shai’Guevara, apaisant ; « Elle-même trouve cela très coquin, vous savez. »
« Lorsque nous eûmes finis de nous restaurer, des servantes vinrent vider la table. Le roi se leva, vite imité par les convives. » « Guillaume : « Je propose, à présent, de passer au salon. Le Shai’Guevara a écrit quelques vers, et m’avait exprimé son désir de nous les présenter. » « Nous abandonnâmes la salle à manger pour suivre le roi dans un autre dédale de couloirs. Nous débouchâmes finalement dans une petite pièce à l’éclairage tamisé, meublée de fauteuils et de quelques divans. Au fond avait été érigé un petit îlot de bois, servant de scène. Tandis que nous prenions place, le Shai’ y grimpa et, affichant un sourire satisfait, sortit de son sac un petit carnet rouge qu’il posa sur un lutrin. »
(La suite s'ajoutera prochainement.)
Dernière édition par le Jeu 19 Juil - 14:31, édité 2 fois | |
| | | Azyr'Shaan Saddlerian
Nombre de messages : 168 Age : 36 Date d'inscription : 01/02/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 9:38 | |
| je ne sais pas si ses sur crépuscule que j'avais déja lu le bg. Vraimant je l'avais bien aimé a ma première lecture, et encore a la deuxième. | |
| | | Ylyaeh Y'
Nombre de messages : 167 Date d'inscription : 19/05/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 10:03 | |
| beaucoup ri ! merci ! :-) | |
| | | Vayne Shel'Ail
Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Jeu 19 Juil - 23:42 | |
| Pour te connaitre irl Hector, je sais que tu as passé beaucoup de temps sur ce Bg, d'ailleurs on n'avait beaucoup rit . Vivement une suite? | |
| | | Mieszko
Nombre de messages : 181 Date d'inscription : 14/02/2007
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Ven 20 Juil - 12:55 | |
| Il y a une suite, elle est dans nos têtes mais pas encore par écrit. Je connais l'auteur IRL, c'est mon bon ami j'ai eu le plaisir de lui fournir quelques idées, tout en assistant à plusieurs moments à l'écriture, par telephone. C'est toujours bon à relire. | |
| | | Hyxtha'Iel, Mortanyss
Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 15/10/2006
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith Lun 6 Aoû - 20:34 | |
| Déja vu sur crépuscule. Bon à lire, et à relire. Bien marrant, je congratule ton pote qui l'a écrit. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Hector : noble Nargolith | |
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| | | | Hector : noble Nargolith | |
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